Gardasil©: ce vaccin cause-t-il le cancer du col de l’utérus?
Le Gardasil© est un vaccin censé protéger les femmes contre le cancer du col de l’utérus qui serait provoqué par un virus appelé papillomavirus humain ou HPV. Voici 12 ans que le Gardasil© est commercialisé et que 200 millions de doses ont été vendues dans le monde. Les spécialistes font aujourd’hui un bilan inquiétant de son utilisation sur la santé des femmes.
Le Gardasil© a-t-il une efficacité anticancéreuse?
Pour poser ce premier bilan sur l’efficacité anticancéreuse du vaccin, le docteur Delépine, chirurgien cancérologue, diplômé de statistiques médicales s’est appuyé sur des résultats vérifiés et officiels.
La conclusion est angoissante.
Tous les pays qui ont mis en place une campagne de vaccination ont vu apparaître une augmentation importante des cancers invasifs particulièrement chez les groupes de femmes qui l’ont reçu.
L’Australie a été le premier pays à vacciner les filles dès 2007 et les garçons en 2013.
En étudiant de près les résultats sur différents groupes de population, il apparaît que les adolescentes vaccinées de 15 à 19 ans ont vu leur risque augmenter fortement: 100% d’augmentation (de 0.1 en 2007 à 0.2 en 2014).
De même, concernant le groupe de femmes âgées de 20 à 24 ans et vaccinées pendant leur adolescence, leur incidence passe à 113 %.
Les personnes âgées de 25 à 34 ans qui sont moins vaccinées voit leur risque s’élever à 33 %.
Dans le même sens, les femmes de 55 à 84 ans et qui n’ont donc pas été vaccinées ont vu leur risque de cancer du col de l’utérus baisser.
Ces résultats paradoxaux se retrouvent dans tous les pays où l’obligation vaccinale a été systématisée.
En Grande-Bretagne, les chiffres concernant les jeunes femmes âgées de 20 à 24 ans sont affolants : leur incidence de cancer double. Par contre, les femmes dont l’âge est plus élevé et qui n’ont donc pas été soumises à l’obligation vaccinale ont vu leurs risques diminuer significativement.
Suède, Norvège, USA et dans tous les pays qui ont instauré une campagne de vaccination massive anti papillomavirus, les registres officiels du cancer informent de la même chose. En plus des effets secondaires connus, les adolescentes et les femmes qui ont le plus reçu le vaccin ont un risque plus élevé de déclencher un cancer invasif du col de l’utérus.
Le Docteur Delépine interpelle les parlementaires sur les risques du Gardasil©
Par une lettre adressée aux parlementaires français en octobre 2018, le Docteur Delépine les informe des chiffres et des conclusions à tirer concernant la légitimité controversée de ce vaccin qui augmente le risque de cancer et qui a des effets secondaires connus et importants.
Comment ses défenseurs peuvent-ils encore affirmer que l’objectif présenté du vaccin qui est celui de diminuer l’incidence du cancer du col de l’utérus sur les adolescentes et les femmes sera atteint un jour ?
Elle invite vivement les parlementaires à ne plus se laisser duper par les experts médicaux et pharmaceutiques dont les conflits d’intérêts sont aujourd’hui connus. Ils doivent refuser l’amendement qui rendrait le Gardasil© obligatoire pour toutes les adolescentes.
Parlant de catastrophe sanitaire, elle leur demande d’exiger très rapidement des études supplémentaires par des organismes indépendants pour justifier la suspension de ce vaccin et éviter ainsi un scandale sanitaire du même ordre que celui du Médiator.
Un palliatif à la vaccination : le dépistage par frottis
La population de femmes de 55 à 84 ans non concernée par la vaccination voit leur risque de contracter un cancer du col de l’utérus baisser régulièrement.
Les médecins inquiets prônent la continuité du dépistage par frottis pour des raisons pragmatiques : l’efficacité du vaccin dépasse-t-elle 15 ans ? Trop peu de recul empêche de le savoir avec certitude.
Or les jeunes filles vaccinées à 15 ans qui ne seraient plus dépistées régulièrement à 30 ans risqueraient d’être diagnostiquées trop tard de leur éventuel cancer.
« La protection n’est pas totalement efficace. De plus l’écologie des virus peut varier au cours des prochaines décennies explique le Dr Dominique Dupagne : de nombreuses jeunes filles vaccinées pourraient diffuser plus sûrement des virus à des personnes que le vaccin ne protège pas ».
Le Gardasil© est-il la cause du cancer du col de l’utérus ?
Si la présence de liens de causalité entre la vaccination et l’apparition de cancers est toujours sujet à polémique en médecine, certains éléments ne sont pas contestables:
– La temporalité : Apparition des cancers peu d’années après la vaccination
– Corrélation entre le nombre de vaccinées et le pourcentage de malade
Il doit s’agir également d’une hypothèse plausible. D’autres vaccins doivent appuyer l’hypothèse vaccination/maladie. C’est le cas des vaccins contre le sida, l’hépatite B et le cancer du foie.
Toutes ces potentialités permettent de mettre en cause le Gardasil©.
Un projet de loi a été déposé le 27 Juin 2018 visant à rajouter le vaccin du Gardasil© aux 11 vaccins déjà obligatoires pour les enfants nés depuis 2018. Au vu des statistiques accablantes et compositions dangereuses de ce vaccin, l’association Ametist se mobilise pour empêcher cette obligation vaccinale de voir le jour.
Crédit photo: assemblee-nationale.fr
A propos d’AMETIST
Depuis 1990, AMETIST réunit des parents, des acteurs privés, de médecins pour créer une dynamique avec ceux qui souhaitent soutenir les actions du Docteur Nicole Delépine.
Cette dernière propose des traitements personnalisés des cancers infantiles. Elle soutient les malades et leur famille défendant le libre choix thérapeutique.
L’un de ses objectifs est d’informer sur l’organisation et le développement de l’oncologie. L’association AMETIST a besoin de vos dons pour pérenniser ses actions.
Bien cordialement,
La Présidente de l’Association