Comment protéger son bébé des 11 vaccins obligatoires en toute légalité?

11 vaccins en un seul pour plusieurs maladies. C’est obligatoire en France depuis le premier janvier 2018 pour les nourrissons à naître. 3 vaccins sont toujours obligatoires pour les bébés nés avant cette date. Les maladies combattues par ces vaccins sont :
· La diphtérie
· Le tétanos
· La poliomyélite
· La coqueluche
· Rougeole, Oreillons, Rubéole (le ROR)
· L’haemophilus influenza de type B
· L’hépatite B
· Le pneumocoque
· Méningocoque de type C

La vaccination se déroule en plusieurs étapes : la piqure et les rappels. Une seule prise regroupe (éventuellement l’ensemble des pathologies à combattre). Donc si les parents le souhaitent et l’acceptent cette vaccination peut avoir lieu en même temps que les autres vaccins. Elle est réalisée par une injection à 2 mois, 4 mois et 11 mois (source: Ameli, sécurité sociale). Les frais sont intégralement pris en charge par la sécurité sociale.

Comment protéger son bébé des 11 vaccins obligatoires en toute légalité?

Mais obligation veut-il dire que le refus est illégal ?

Oui la loi vaccinale est claire en ce sens. Nous la citons dans son intégralité pour ne pas en déformer le sens légal :

II.- Les personnes titulaires de l’autorité parentale ou qui assurent la tutelle des mineurs sont tenues personnellement responsables de l’exécution de l’obligation prévue au 1 (obligation de vaccination). La preuve que cette obligation a été exécutée doit être fournie, selon des modalités définies par décret, pour l’admission ou le maintien dans toute école, garderie, colonie de vacances ou autre collectivité d’enfants.

Manque d’information, trop de flou autour des résultats positifs de la vaccination obligatoire, risques de cancers des os des muscles, des cartilages, mort subite du nourrisson, comme l’a dénoncé le professeur Montagnier (prix Nobel de médecine pour sa découverte du virus de l’immunodéficience humaine).

Et que dire des effets dramatiques de l’adjuvant le plus utilisé en France, l’Hydroxyde d’aluminium ? Même les vaccins animaux n’en contiennent plus.

Vous attendez donc d’en savoir plus pour prendre votre décision et vous avez sans doute raison. Les démarches pour gagner du temps et parfaire votre éducation (et celle du corps médical) en termes de vaccination sont simples.

Vous disposez d’un pédiatre qui suit votre enfant. Faites-lui part sincèrement de vos doutes sur l’efficacité de la vaccination. À l’âge requis pour être vacciné demandez lui d’effectuer un bilan de santé complet de la Sécurité Sociale (ou de la MSA si vous êtes affilié à la caisse agricole) qui attestera de l’aptitude physique de votre enfant à subir la vaccination obligatoire combiné, dite les 11 vaccins.

Des lois internationales vous protègent 

En 2005, l’UNESCO a fait voter par 193 pays, dont la France, la Déclaration Universelle sur la Bioéthique et les Droits de l’Homme. Ce texte précise que toute intervention médicale préventive devra être effectuée en tenant compte : nous citons « du consentement préalable, libre et éclairé, de la personne concernée et fondé sur des informations suffisantes ». Ce texte prévaut sur la loi française dans la hiérarchie des textes.

La vaccination obligatoire est imposée aux parents sous la menace de sanctions pénales et d’exclusion discriminatoire des collectivités (exclusion des écoles et crèches à compter du 1er juin 2018). Ainsi les enfants fragiles qui suivent ou sortent de traitements lourds, ou bien les poly-allergiques, qui ne peuvent, ne doivent pas être vaccinés, seront-ils exclus à jamais des collectivités ? Rien ne l’indique.

La Déclaration Universelle sur la Bioéthique et les Droits de l’Homme dans son article 2, déclare avec intelligence et raison que le « seul intérêt de la Science ou de la Société ne doit pas prévaloir ».

L’obligation vaccinale généralisée s’argumente uniquement autour de cet « intérêt de la société, au nom de la protection des personnes ne pouvant être vaccinées pour raisons médicales ». C’est parfaitement contradictoire.

Et encore la loi sur l’obligation vaccinale de 2018 contredit celle du 4 mars 2002 relative au droit des malades. Cette dernière dit que « aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne ».

Le « Principe de Précaution »

Nous entendons parler tous les jours de notre texte fondateur, celui qui déclare haut et fort que nous sommes libres et égaux : la Constitution française elle aussi, comme les textes internationaux s’opposent évidemment à l’expérimentation sur l’ensemble des enfants (des nourrissons) d’une société, d’un pays.

La décision de vacciner les nourrissons est du ressort du médecin et des parents. Il est essentiel, pour ne pas vacciner sans savoir pourquoi quels sont l’hérédité, les prédispositions de l’enfant, son cadre de vie, la réalité de l’infection traitée pour chaque malade. Bref le médecin ne vaccine pas comme un bandit manchot !

D’ailleurs c’est comme cela que se déroule la vaccination dans les autres pays européens. Il serait moins coûteux, humainement et financièrement de pratiquer le mode « conseil éclairé » plutôt qu’obligation légale.

Culpabiliser n’est jamais le meilleur moyen de parvenir à des résultats probants. Refuser tout net la vaccination, demander des informations claires et précises sur les effets secondaires, les adjuvants, rejoindre une association qui lutte contre la vaccination obligatoire, faire respecter la loi dite Kouchner en faisant faire un examen préalable de santé et remplir un questionnaire d’information complet à votre médecin. Puis attendre les réponses du praticien. Toutes solutions qui permettront de faire changer une loi qui n’est pas du niveau démocratique de la France.

A propos d’AMETIST

Depuis 1990, AMETIST réunit des parents, des acteurs privés, de médecins pour créer une dynamique avec ceux qui souhaitent soutenir les actions du Docteur Nicole Delépine.

Cette dernière propose des traitements personnalisés des cancers infantiles. Elle soutient les malades et leur famille défendant le libre choix thérapeutique.

L’un de ses objectifs est d’informer sur l’organisation et le développement de l’oncologie. L’association AMETIST a besoin de vos dons pour pérenniser ses actions.

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La Présidente de l’Association