Les nombreuses contradictions de l’obligation vaccinale ouvriront-elles la voie à la liberté vaccinale?
Nous voulons vous présenter ici quelques vérités juridiques et scientifiques qui devraient ouvrir le débat sur la liberté vaccinale des individus. La nouvelle obligation vaccinale est entrée en vigueur le 1° janvier 2018 sans émouvoir plus que cela les tenants de la liberté de subir ou non la vaccination. Aujourd’hui onze vaccins sont obligatoires pour les enfants de moins de 18 mois. Avant cette date seuls la diphtérie, le tétanos, et la poliomyélite étaient obligatoires. C’est donc un agenda vaccinal du bébé fortement généralisé qui se trouve désormais obligatoire. Cette décision gouvernementale est en contradiction avec les arguments et les doutes sur la sécurité des vaccins développés par plus de 40 % de la population française.
Que dit la loi française pour se prémunir contre l’obligation vaccinale?
La vaccination des maladies telle que la polio ou le tétanos (entre autres maladies) semble bien préserver la santé des enfants. Mais dans ce cas pourquoi utiliser l’arsenal juridique pour continuer à les protéger ?
La France est bien loin de suivre les exemples de nombreux pays européens tels que le trio de tête de la liberté individuelle : l’Allemagne, le Royaume-Uni, et certains pays nordiques. Ces derniers ne pratiquent pas l’obligation vaccinale.
Cette décision gouvernementale contredit de nombreux articles du Code civil, de la convention dite d’Oviedo, la jurisprudence de la Convention européenne des droits de l’homme, qui veulent défendre l’intégrité physique des personnes.
Que dit la science des effets des vaccins sur le corps humain?
Les antigènes des leucocytes humains (acronyme anglais HLA) sont des caractéristiques parfaitement personnelles.
Personne au monde ne possède le même HLA que vous. Ce qui rend le système immunitaire différent d’une personne à l’autre. Et par conséquent notre manière de lutter contre les maladies qui nous affectent.
L’un des exemples le plus souvent cités pour se faire comprendre est le phénomène de rejet à la suite de greffes d’organe. Sans médicament anti rejet le corps se défend contre ce qu’il considère comme un intrus.
La vaccination utilise ce phénomène pour permettre au corps de générer des défenses qui rejettent les mauvais lymphocytes. Étant donné les réponses très personnelles face aux vaccins standardisés, la question de l’immunité automatique de tous se pose vraiment.
Les évaluations des vaccins et la lutte contre le cancer
Les vaccins sont-ils suffisamment évalués ? Dans le cas des vaccins il est illusoire de pouvoir étudier ses effets à long terme. Comment se distribue-t-il dans le corps ? Comment se transforme-t-il ? Comment le corps l’excrète-t-il ? Avec quelle temporalité ? On ne le sait pas.
Les études n’existent pas. Il n’existe pas non plus d’étude d’impact entre les vaccins et certains cancers. Pourtant la vaccination contre la polio aurait pu fournir des arguments pour la mise ne place d’études sérieuses sur l’impact de la vaccination et l’apparition d’un cancer.
Un virus cancérigène (le SV40) est souvent présent dans les cancers comme les mésothéliomes et des ostéosarcomes.
Le vaccin Gardasil proposé pour lutter contre les papillomavirus avant les premiers rapports sexuels inclut un conservateur (borax) soupçonné d’altérer la fertilité et de nuire au bon développement de l’embryon. D’autres éléments entrant dans sa composition perturbent ou pire, stoppent les cycles ovariens.
L’absence de vrai placébo est une réalité
Les effets réels de ce médicament qui n’en est pas un s’étudient en prenant deux groupes de personnes soignés différemment.
L’un est soumis à un vaccin tel le Gardasil, l’autre prend un cachet composé de solution saline ou d’une autre substance non médicamenteuse. Or les personnes sous « placébo vaccinal » ingèrent des substances qui composent le vaccin final, sans les antigènes bien entendu. Ou bien les études portent sur la comparaison de deux vaccins dont un est connu pour ses effets indésirables ou pas.
Peut-on considérer que les essais sont biaisés ? On ne compare pas un vaccin avec un sérum physiologique, alors qu’en penser ? Et que dire des vaccins combinés qui sont mis sur le marché à la suite d’une autorisation individuelle et non à la suite d’essais de la combinaison globale ?
De nombreuses études scientifiques laissent supposer une corrélation étroite entre de nombreux cas de maladie immune et certains vaccins. Le plus connu du monde médical est le diabète juvénile probablement apparu à la suite de la vaccination contre la rougeole, la rubéole et les oreillons. La composante « oreillon » est soupçonnée d’en être la cause.
Les vaccins sont-ils sûrs?
Les vaccins sont-ils sûrs ?
Les vaccins antiviraux contiennent des cultures cellulaires présentant les caractéristiques des cellules cancéreuses. Ces cultures sont potentiellement contaminées par des composants cancérigènes, des virus et de l’ADN. Nous avons déjà cité plus haut l’exemple de la contamination des vaccins antipolio par le virus SV40 aux origines animales.
L’ADN présent dans les vaccins est humain et parfaitement ingéré par notre ADN sans que l’on sache avec certitude quels en sont les effets à long terme dont l’apparition probable de cancers.
En conclusion faut-il considérer avec certitude que les effets bénéfiques sont supérieurs aux effets indésirables ? Sans parler du coût de plus en plus significatif des vaccins comme celui de l’hépatite B, de la grippe (voir le prix du vaccin de 2018) et des papillomavirus.
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Cette dernière propose des traitements personnalisés des cancers infantiles. Elle soutient les malades et leur famille défendant le libre choix thérapeutique.
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