Sommes-nous tous devenus des cobayes de l’industrie pharmaceutique?

L’espérance de vie n’a jamais été aussi élevée. Les maladies infectieuses sont parfaitement combattues par une bonne hygiène, des soins de bonne qualité, une nutrition bien meilleure que dans les siècles précédents. Mais bien d’autres maladies sont apparu après-guerre et surtout ces dernières années. Ce qui a changé ? L’usage intensif des carburants fossiles (plastiques), les centrales nucléaires, les émanations polluantes des voitures à moteur thermique, l’apparition des pesticides à grande échelle, une nourriture polluée par des conservateurs et les perturbateurs endocriniens. Et enfin ne sommes-nous pas les cobayes d’une industrie pharmaceutique qui n’a qu’une ambition : gagner de plus en plus d’argent au détriment ou sans penser aux populations qu’elle est censée guérir.

Quand aura lieu la prise de conscience ? 

Les gouvernements et la population française (entre autres) seraient bien venus de prendre enfin conscience de notre situation sanitaire.

Les maladies dites « modernes » qui tuent les Français et une grande part des populations au niveau de vie similaire. Cancers, diabètes, cardiopathies, les accidents vasculaires, de nombreuses affections respiratoires accroissent le nombre de morts d’année en année sans que rien ne semble pouvoir arrêter la pandémie.

En ce qui concerne les cancers ce sont plus de 1 000 nouveaux cas détectés par jour dans notre pays. Au-delà des chiffres c’est la progression des cas qui fait peur : presque 90% de plus de 1980 à nos jours.

Notre environnement, notre mode de vie, la vaccination obligatoire, sont-ils des facteurs de risque aggravants ? On peut le penser, si les cas de cancer ou de tout autre affection se multiplient au lieu de baisser peut-on imaginer que les lobbies pharmaceutiques et les laboratoires qui fournissent les vaccins (inutiles ?) se servent des populations comme cobayes en attendant de trouver la formule magique. Pour les générations futures ?

Les nouvelles affections mentales

Ces dernières années une gamme de pathologies et de maux plus ou moins graves, difficiles à définir, dont les médecins ont bien du mal à comprendre les effets et la gravité se sont fait jour.

Il s’agit de la fatigue chronique, des affections liées au travail comme le burn-out, la fibromyalgie, et toute la gamme des addictions, enfin les troubles anxio-dépressifs et l’autisme.

Ce constat d’une mauvaise santé générale physique et mentale de nos populations est probablement le fait d’un ensemble de changement de comportement. Peut-être une nouvelle manière de souffrir, mais il se base sur une dégradation de l’environnement, d’une alimentation abîmée par les pesticides et les perturbateurs endocriniens, et autres poisons du quotidien.

D’après différentes études, dont celles d’André Cicocella, l’environnement serait à l’origine de 50% des cancers entre 2003 et 2011. Il se base sur les disparités des statistiques des maladies les plus courantes par rapport aux régions françaises. Disparité par région des éléments environnementaux et des campagnes de dépistage.

En ce qui concerne l’augmentation de l’infertilité, les perturbateurs endocriniens sont pointés du doigt. Ils sont partout : dans les pesticides, les canettes de soda, les composés pharmaceutiques et cerise sur le gâteau aux colorants synthétiques, dans l’eau ! Bref ils sont partout ou presque. 

Les cas de cancers explosent

On constate que les cancers hormono-dépendants (ce sont ceux du sein et de la prostate par exemple) sont les plus fréquents dans la génération née après 1945. Or cette période correspond à celle de l’explosion chimique et de la pleine puissance financière des laboratoires pharmaceutiques et donc de leur lobbies.

Un exemple parlant d’inconséquence en termes de vaccination 

Cette année 2019 voit l’académie de pharmacie publier un avis (source: Moniteur du pharmacien février 2019) sur la prévention des cancers qui seraient dus aux papillomavirus humains (HPV). Cette institution qui vend ses fameux vaccins sans se préoccuper des équilibres financiers de la sécurité sociale dit « oui à la vaccination de tous les adolescents avant le début de leur vie sexuelle, filles et garçons ».

Et comme les pharmaciens vont pouvoir vacciner leurs clients en officine l’académie estime (nous citons) « que la réalisation de cette vaccination par différents professionnels de santé » sera efficace, car elle couvrira l’ensemble du territoire français. Pour une couverture vaccinale maximale.

Et pour finir sur ce sujet l’académie de pharmacie dit « oui à une information, par les professionnels de santé, des parents et adolescents sur l’intérêt, l’efficacité et la bonne tolérance de ces vaccins ». Pour aller encore plus loin sans évoquer les intérêts en jeu, les académiciens sont favorables à des campagnes d’informations dans toutes les institutions scolaires.

Les académiciens sont d’accord pour que les clients ne payent pas les frais de la vaccination. Mais eux se feront rembourser par la sécurité sociale. Pour être complet l’académie ses base sur des rapports le plus souvent contestés venus d’Australie. Alors la vaccination obligatoire du HPV en France ? Dossier à suivre.

A propos d’AMETIST

Depuis 1990, AMETIST réunit des parents, des acteurs privés, de médecins pour créer une dynamique avec ceux qui souhaitent soutenir les actions du Docteur Nicole Delépine.

Cette dernière propose des traitements personnalisés des cancers infantiles. Elle soutient les malades et leur famille défendant le libre choix thérapeutique.

L’un de ses objectifs est d’informer sur l’organisation et le développement de l’oncologie. L’association AMETIST a besoin de vos dons pour pérenniser ses actions.

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