Quelques informations à propos de l’Obligation vaccinale[1]: loi liberticide, sans fondement de santé publique, contraire à l’éthique médicale et aux conventions internationales
Par Nicole Delepine, Pédiatre
La Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, et fondé sur des informations suffisantes. Elle note (en son article 2) que « le seul intérêt de la science ou de la société » ne doit pas prévaloir.
La loi votée en décembre 2017 élargit l’obligation pour les enfants de moins de deux ans nés au-delà du 1 Janvier 2018, de trois à onze vaccins[2]. Cette loi est contraire aux données de la science, aux droits des patients, et au principe de précaution. Notons que l’obligation ne doit pas s’appliquer aux enfants nés avant le 1 er janvier 2018.
C’est avant tout l’hygiène qui a vaincu les épidémies : assainissement de l’eau et des égouts, lavage des mains, légumes, ustensiles de cuisine, lutte contre la pullulation des nuisibles, habitat salubre et sans promiscuité, vie saine et bonne alimentation. Mais aussi l’isolement des malades et des possibles porteurs de germes et les antibiotiques Dans cette victoire contre les infections les vaccins n’ont joué qu’un rôle très marginal.
Les enfants non vaccinés mettraient-ils les autres en danger ? Faux
Dans les pays sans obligation (nord de l’Europe[3], Angleterre , Allemagne[4]) la situation sanitaire est excellente. Une large étude canadienne, publiée en 2015, montre que les enfants non vaccinés sont moins souvent malades, font moins de bronchites, moins d’allergies, et ne mettent pas la santé des autres en péril.[5] Il n’existe pas d’urgence sanitaire justifiant en France l’obligation vaccinale
Les vaccins « seraient bien évalués avant la mise sur le marché » : Non
Les agences ont montré leurs défaillances à de multiples reprises : L’institut Cochrane est en procès avec l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour falsification de données concernant le gardasil (2016). Comme tous les nouveaux médicaments, les vaccins sont peu évalués et les AMM (autorisations de mise sur le marché) sont données très rapidement. Aucune étude exhaustive n’est disponible sur les effets secondaires et encore moins sur les conséquences de vaccins groupés sur de si petits organismes. Aucune étude de morbidité/ mortalité comparée sur population vaccinée et non vaccinée n’est prise en compte dans l’évaluation des vaccins
« Les vaccins seraient efficaces, » affirmation constamment répétée, mais guère vérifiée. Les avis HAS (Haute Autorité de Santé) ne comparent en général que les taux de conversion des anticorps par rapport à un ancien vaccin et ne prennent pas en compte l’efficacité réelle dans la population.
« Les vaccins sont sûrs » : pas si sûr ! L’expérimentation courte sur quelques centaines d’enfants suivis peu de temps ne permet pas d’avoir une idée des effets secondaires à long terme.
« Les vaccins seraient bien contrôlés après leur commercialisation » : la pharmacovigilance est extrêmement défaillante en France. Ce sont les firmes pharmaceutiques qui doivent transmettre les signaux d’alarme alors que cette transmission est contraire à leurs intérêts.
D’après l’OMS[6] (Organisation Mondiale de la Santé) « Il faudrait atteindre 95% de vaccinés pour protéger la population »: c’est faux. Comment l’OMS peut-elle ignorer l’exemple de la rougeole en chine où les taux de vaccination en atteignent au moins 99 % (état totalitaire oblige) sans éradiquer le virus qui se transmet à travers des sujets vaccinés apparemment sains.
« Il faudrait l’obligation pour le bien des populations » : absolument pas ! l’Europe n’impose pas les vaccinations ni la grande majorité des pays de l’union européenne comparables au nôtre et les citoyens ne sont pas plus malades. Il n’y a pas d’épidémie actuelle, ni de menace d’épidémie en France
Raisons de la méfiance : la baisse reconnue ou ressentie de la qualité des agences du médicament, l’absence de pharmacovigilance réelle, le tout dans un climat de suspicion, de corruption et de dissimulation des conflits d’intérêts des décideurs et des experts.[7]
La vaccination devrait être une décision adaptée à chaque personne à chaque risque individuel (tétanos pour les cavaliers ou jardiniers, fièvre jaune pour ceux qui voyagent en pays d’endémie)
Panorama des vaccins concernés (Etat de la science en décembre 2017).
Les vaccins antipolio ne peuvent empêcher la transmission, inter humaine, du virus qui se réalise uniquement par contamination de la boisson ou de la nourriture, et peut être facilement prévenue par le respect des règles d’hygiène élémentaire. De plus les souches dérivées du vaccin atténué ont recouvré leur virulence et sont responsables de presque toutes les poliomyélites survenues en Europe de l’est, en Ukraine et en Inde.
Le tétanos n’est pas une maladie contagieuse, le vaccin ne constitue qu’une protection personnelle. En France le tétanos se chiffre actuellement à 12 cas par an, dont 3 mortels : faut-il primo vacciner 800000 enfants et avec les rappels 5 millions par an ?
Le vaccin anti diphtérie n’empêche pas la transmission du germe et l’immunité personnelle qu’il procure est très courte[8]. Sous traitement l’évolution est bénigne et les seuls cas dangereux seraient ceux pour lesquels on n’a pas l’antitoxine disponible.
Le vaccin anticoquelucheux : peu efficace ne prévient pas la transmission de B pertussis. La Suède l’a abandonné dès 1979 parce que des épidémies survenaient parmi les populations parfaitement vaccinées, et à cause des nombreux effets secondaires dus au vaccin, particulièrement les atteintes cérébrales[9].
Le Vaccin contre Haemophilus influenza (grippal) est peu efficace et aux USA la population serait plus à risque qu’avant les campagnes de vaccination.
Le vaccin contre l’ Hépatite B est totalement inutile chez le nourrisson, car se transmet par le sang, le sexe ou l’aiguille. Et, si on l’injecte au nourrisson, son immunité aura disparu au début des périodes à risque (adolescence). Il expose à de nombreuses complications. Le taux de conversion en Sclérose en plaques[10] est de 52% chez les vaccinés HB contre 32% pour les autres[11]. Le Tribunal Administratif, l’ONIAM (Office national d’indemnisation des accidents médicaux ) et le Conseil d’Etat ont reconnu la responsabilité du vaccin chez les victimes contraintes à se vacciner du fait de leur emploi.
Le vaccin rougeole-oreillons-rubéole (ROR) suscite toutes les polémiques. W. Thompson, un expert de l’agence de santé américaine CDC, a reconnu en 2014 avoir été contraint de falsifier l’étude rejetant le lien entre autisme et ROR (film du Dr A. Wakefield, Vaxxed). Jadis lorsque les enfants faisaient les cinq maladies bénignes (rougeole, roséole, varicelle, oreillons, rubéole) dans l’enfance, les mères étaient tranquilles, quelques jours d’absence à l’école et fini.
La rougeole est exceptionnellement dangereuse en France. Maladie bénigne jamais mortelle sur terrain sain, les quelques décès (1 par an) brandis par la ministre sont survenus essentiellement chez des immunodéprimés. La vaccination n’empêche pas la propagation du virus chez les populations apparemment indemnes.
Au total la prescription d’un vaccin devrait rester individuelle, pesée et décidée par chaque médecin pour son patient après un consentement effectivement éclairé, et tenant compte des antécédents personnels et familiaux, des contre-indications, de l’examen clinique et éventuellement en cas de doute de quelques examens complémentaires.
La vaccination est un geste médical et doit le rester !
Pour plus de détails sur les vaccins voir le diaporama du Dr G. Delépine chirurgien et statisticien « L’obligation vaccinale est elle encore justifiée en France en 2017 ? » sur notre site docteur.nicoledelepine.fr.
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[1] « La création d’un « ordre mondial sanitaire » est en préparation depuis plus d’une décennie, sous l’impulsion et la direction des USA, de l’OMS et de l’Alliance GAVI, en partenariat étroit avec l’industrie et la fondation Bill-et-Melinda-Gates. Le projet français d’extension des obligations vaccinales obéit donc aux étapes d’un plan nommé Global Health Security Agenda, que l’on voit s’actualiser au niveau mondial ». in Vaccinations massives : les citoyens du monde réagissent par Senta Dupuydt 2017 octobre.
[2] les onze vaccins qui deviendront obligatoires au 1er janvier 2018 seront ceux contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite mais aussi la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l’hépatite B, le méningocoque C, le pneumocoque et l’haemophilius influenzae B.
[3] En Suède lobligation vaccinale a été déclarée anticostitutionelle
[4] En Allemagne madame Merkel a refusé toute obligation vaccinale
[5] Immunologist Tetyana Obukhanych: Immunologist Tetyana Obukhanych: Unvaccinated Children Pose “No Extra Danger to the Public” Posted on April 17, 2015 by Thinking Moms’ Revolution
[6] Dont le budget de fonctionnement est maintenant en grane partie payé par les labos pharmaceutiques et dont les experts ne publient pas leurs liens d’intérêts
[7] Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg ? par delepine nicole vendredi 24 novembre 2017 agoravox
[8] En France 25% des enfants ne sont plus immunisés un an après le vaccin DTC (Guerinl. 1988)
[9] British Med. Journal – vol 320 – n° 2 – 1967
[10] Risque de faire une sclérose en plaque classique après un incident neurologique solitaire
[11] 1 chance sur 10000 d’obtenir de tels écart par le seul fait du hasard.
Madame, Mademoiselle, Monsieur,
Le sujet de l’obligation vaccinale est un sujet qui nous touche directement car il s’inscrit dans l’esprit de notre combat : celui du droit au traitement choisi et la lutte contre les traitement imposés.
Personne n’a probablement l’intention de transformer nos parlementaires en vaccinologues de haut rang. Et là n’est pas le débat. Néanmoins, il est du rôle de nos parlementaires de défendre les droits des citoyens dans un contexte d’évolution de la société.
En l’espèce il s’agit de poser la question du respect du droit de citoyen et des patients dans un contexte d’obligation vaccinale et donc de violabilité du corps humain.
Le « Servir la science » est la justification de traitements imposés, avec des conséquences désastreuses comme si l’innovation était forcément un progrès.
Or servir la science était l’argument massue de défense des médecins obéissant au totalitarisme hitlérien : celui-ci donnait l’absolue priorité au collectif, la personnalité individuelle devant lui être soumise. Karl Brand, médecin personnel d’Hitler, avait déclaré que « lorsque la personnalité est dissoute au sein du corps collectif, toute demande qui lui est soumise doit être dissoute au sein du concept de système collectif ; les besoins de la société sont maintenant des besoins individuels, et l’être humain, ce complexe individuel, sert uniquement à l’intérêt de la société ».
Ainsi naquit le code de Nuremberg, donc l’objectif est précisément de préserver le droit de choix et donc de refus, du patient sur les traitements qu’ils va subir.
Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….). »
Selon le principe de précaution médicale, le principe, par défaut, de la vaccination doit relever de recommandations et non d’obligations et c’est le rôle du parlement que de protéger les droits des citoyens en dehors de toute querelle médicale et en l’absence de péril.
Puisque la technocratie se réfère à la notion de « balance bénéfices-risques », il semblerait équitable d’avoir une analyse précise de telle sorte. Or aucune analyse qualitative ni quantitative n’est présentée. Tout comme nous avons saisi la CADA pour tenter d’obtenir les données sur les cancers.
Depuis 1964, date de la dernière obligation vaccinale, le droit, la science, et les sociétés ont évolué. La convention d’Oviedo, la déclaration de l’UNESCO sur la bioéthique, la loi Kouchner sur le consentement éclairé du patient, renforcent les droits de la personne et annoncent une médecine de plus personnalisée et choisie.
A l’inverse, le procédé du Gouvernement et la stratégie de coercition constituent des régressions sociétales.
Le droit s’est toujours préoccupé d’assurer le respect dû au corps humain. La jurisprudence veillait à ce que soient respectés les principes d’inviolabilité et d’intégrité du corps humain, ainsi que la règle de l’indisponibilité de l’état des personnes. Ont été interdites les conventions, à titre gratuit ou à titre onéreux, portant sur le corps, du moins tant qu’elles n’étaient pas justifiées par un motif légitime .
Les lois bioéthiques ont consacré le principe du droit à l’intégrité physique : le corps ne peut subir aucune atteinte à l’intégrité physique. Des sanctions civiles comme pénales sont mises en œuvre en cas d’atteinte illicite.
Selon l’article 16-1 : « chacun a droit au respect de son corps. Le corps humain est inviolable ». L’article 16-3 affirme également que : « II ne peut être porté atteinte à l’intégrité du corps humain qu’en cas de nécessité thérapeutique pour la personne ».
L’idée qu’il est exclu de porter atteinte à l’intégrité même de la personne explique de nombreux points de droit : l’impossibilité d’imposer des expertises médicales contre la volonté de la personne, l’interdiction de faire un traitement médical ou une intervention chirurgicale sans consentement, le refus de l’exécution forcée des obligations de faire, etc.
On autorise certaines atteintes au corps sous réserve que la personne soit consentante. Ce principe du consentement préalable figure dans de nombreux textes : dans l’article 16-3, mais aussi de manière systématique et répétitive dans le Code de la santé publique lorsqu’est ouvert un droit à intervenir sur le corps humain.
Or en l’espèce, l’obligation vaccinale, en absence de péril, bafoue à la fois ces droits et ces principes.
La précipitation du Gouvernement à faire passer cette mesure ne figurant dans aucun programme électoral et la tentative d’échapper à un débat démocratique approprié sont inacceptables.
Nous vous appelons à prendre contact avec vos parlementaires afin de leur exposer tous ces points afin qu’ils puissent, en toute connaissance, demander une commission d’enquête avant le vote de cette obligation.
Bien cordialement,
Carine Curtet
Présidente
MEDICAMENTS ANTICANCEREUX PEU UTILES, SOUVENT TOXIQUES ET HORS DE PRIX
SORTIE CHEZ MICHALON LE 26 OCT 2017
AMETIST vous recommande le nouvel ouvrage des Dr Nicole et Gérard Delépine. Dans ce livre, Nicole et Gérard Delépine essaient de passer quelques messages importants.
1°) l’AMM d’un médicament récent ne constitue plus un gage d’efficacité ni de sécurité, comme le constatait déjà G Apolone en 2005[1] et l’ont confirmé Lexchin en 2012 aux USA et R [2]Banzi et les associations de consommateurs en Europe[3] [4].
2°) la « médecine de précision » est le plus souvent un leurre qui bénéficie d’une propagande trompeuse opiniâtre sans apporter de progrès indiscutables dans le traitement des tumeurs solides comme le démontre Vinay Prasad[5].
3°) le malade auquel on propose un « nouveau médicament miracle » devrait exiger avant de donner son accord au traitement proposé, la communication des articles princeps qui le démontrent et à consulter la fiche de transparence de la HAS pour vérifier que sa survie globale a des chances d’être réellement améliorée.
4°) Enfin nous essayons de faire comprendre aux citoyens que le prix démesuré des nouveaux médicaments et les charges imputées à la sécurité sociale menacent notre système de santé. lorsque le ministère accepte de payer 5000 euros par mois pour un médicament globalement peu utile et/ou trop toxique, c’est au détriment, non seulement des malades qui le prendront, mais aussi de l’ensemble des citoyens à qui on refusera le remboursement des lunettes, des appareils dentaires et des appareils auditifs et qu’on oblige à contracter une assurance complémentaire santé de plus en plus chère.
Pour en savoir plus, visitez le site de Nicole et Gérard Delépine.
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[1] G Apolone « new anticancer agents are still often approved on the basis of small single arm trials that do not allow any assessment of an ‘acceptable and extensively documented toxicity profile and of end points such as response rate, time to progression or progression-free survival which at best can be considered indicators of anticancer activity and are not ‘justified surrogate markers for clinical benefit » in Ten years of marketing approvals of anticancer drugs in Europe: regulatory policy and guidance documents need to find a balance between different pressures British Journal of Cancer (2005) 93, 504–509
[2] Lexchin J “New drugs and safety: what happened to new active substances approved in Canada between 1995 and 2010?” Archives of Internal Medicine 2012: 172:1680-1.
[3] Rita Banzi « In most cases there was limited evidence supporting the positive benefit–risk balance at the time of approval. Delays or discrepancies in the fulfilment of obligations allowmedicinal products with unsettled benefit–risk profiles onto the market for several years. »Approvals of drugs with uncertain benefit–risk profiles in Europe European Journal of Internal Medicine 26 (2015) 572–584
[4] Joint response to EMA public consultationA PRIME example of how EMA is pushing for accelerateurs et des laboratoires pharmaceutiqueed market approvals, but at what cost for patients? 23 December 2015
[5] Vinay Prasad «When considerd objectivly , the prospects and potential of precision oncology are sobering Precision oncology has not been shown to work, and perhaps it neverwill» The precision-oncology illusion Nature september 2016, 537 Precision medecine outlook perspective © 2016 Macmillan Publishers
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Lutte pour que les patients atteints de cancer aient une vraie liberté de choix thérapeutique
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