l’association Ametist a survécu aux tempêtes du Covid , les membres tentant d’aider autant que faire se peut durant ces quatre années, les adhérents, leurs amis et tous citoyens demandant du soutien psychologique, de l’orientation pour soins, des explications sur les schémas de traitement etc. voir de l’aide financière pour des soins à l’étranger par exemple. Bref, l’association a assuré son rôle tel que défini lors de sa création en 1990.
UNE BONNE NOUVELLE : la sortie prévue début 2025 d’un livre de témoignages photographiques et écrits d’anciens patients guéris, heureux de témoigner pour aider les autres à affronter ce moment terrible. Remercions-les du courage de se plonger dans des moments difficiles souvent terribles.
Madame, Monsieur, chers amis, chers amoureux des photos et des livres
J’ai le grand plaisir de vous annoncer la parution en cette fin d’année du livre de témoignages photographiques et écrits de patients guéris, heureux de donner du courage aux malades actuels, livre préparé avec l’association Ametist qui défend les petits atteints de cancer depuis les années 1990, et les photos réalisées par la photographe Ingrid Hoffman en saisissant les témoins dans leur environnement normal.
Ils s’appellent Céline, Alina, Christelle, David, Salomé, Raphael, Sarah, Raymond, Elodie, Virginie et bien d’autres encore. La photographe Ingrid Hoffmann a eu l’opportunité d’en rencontrer quelques-uns et de saisir des moments de leur vie actuelle, des années voire des décennies après leur traversée de l’enfer.
Enfants ou jeunes adultes, ils ont vécu l’annonce d’un cancer, souvent brutale et accompagnée d’un pronostic soi-disant fatal et l’envoi à un psychologue pour leur faire admettre l’inacceptable que certains médecins prétendaient inéluctable.
Avec leur famille, Ils ont choisi à 11, 15 ou 20 ans le combat, cherchant souvent des chemins de traverse, pour éviter l’amputation et/ou « le protocole » imposé par la doxa de grands instituts apparemment plus désireux d’inclure les malades dans des essais thérapeutiques que de leur proposer des traitements personnalisés.
Ils racontent ici en quelques mots simples leur parcours, non pour passer pour des héros, mais pour transmettre la force de la volonté à tous ceux qui sont confrontés aux mêmes problèmes, pour les encourager à refuser la soumission. Ils souhaitent partager la flamme de la vie qui leur a permis de survivre, puis de vivre quasiment normalement, et pour les plus vieux, d’avoir déjà la chance de bénéficier du plus beau des cadeaux de la vie : transmettre à leur enfant la beauté du ciel, de la mer, ou des montagnes, des arbres, du chant des oiseaux et plus encore de leur force intérieure.
Souhaitons que ces quelques témoignages et photos puissent insuffler aux futurs patients la force « d’anciens » qui ont accepté de se replonger dans leur parcours douloureux pour donner volonté et courage aux nouveaux.
Rien n’est inéluctable : les seuls combats perdus d’avance sont ceux qu’on ne livre pas. L’énergie et l’espoir d’une issue favorable seront aussi des armes importantes vers la guérison. »
Si vous souhaitez commander un ou plusieurs exemplaires, allez sur le site des éditions Marco Pietteur sur les livres à paraître et choisissez « du cancer à la vie », souscription ouverte.
En vous remerciant de l’intérêt que vous porterez à cet ouvrage dont l’esprit est de soutenir les malades dans l’atmosphère actuelle plutôt dépressive de notre système de santé, par l’humanité, l’amour, l’amitié, le courage, que dégagent les récits de nos petits malades devenus grands, puis parents et pour certains déjà bientôt grands-parents. Nous les remercions du fond du cœur.
BONNE LECTURE
ET SURTOUT ADRESSEZ – NOUS VOS TEMOIGNAGES, VOS RESSENTIS
les bénéfices iront bien sûr à l’association AMETIST
Nicole Delépine Pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France
http://association.ametist.org/wp-content/uploads/2016/07/Logo-Ametist-web5.jpg00Nicole Delépinehttp://association.ametist.org/wp-content/uploads/2016/07/Logo-Ametist-web5.jpgNicole Delépine2024-11-28 16:19:342024-12-02 13:05:35Livre « du cancer à la vie » témoignages photo et écrits pour donner du courage aux malades actuels
LA BAISSE DE LA NATALITÉ EN LIEN AVEC LES INJECTIONS ANTICOVID MISE EN ÉVIDENCE DÈS 2022
il y a de nombreux mois que nous avertissons avec d’autres dont patrice Gibertie dont est l’ article de 2022 sur les dangers de la fertilité liés aux injections expérimentales anticovid est rerpoduit ci dessous , de même que sur l’allaitement maternel toxique des mères injectées.
même si d’autres causes étaient décelables avant 2020, le poison injecté a aggravé largement la dépopulation (selon un plan avoué et prévu par les adeptes de Davos
ALORS POURQUOI JOUER LES CANDIDES ET NE PARLER QUE DE PLACES DE CRECHES OU DE MERES CELIBATAIRES ?
IL EST GRAND TEMPS D’INTERDIRE L’INJECTION DE CE POISON A RISQUE MORTEL COMME LE SOULIGNE LE PR RAOULT
Médecin hospitalier, pédiatre et oncologue, Nicole Delépine se bat, depuis 40 ans, pour une meilleure prise en charge des malades à l’hôpital. Reconnue au niveau international pour sa connaissance du cancer, elle a notamment dénoncé les paradoxes du Gardasil, le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Elle vient de publier Les Enfants sacrifiés du Covid (Fauves).
Alors que 30 % des Françaises en âge de procréer ne souhaitent pas avoir d’enfants pour « sauver la planète bleue », l’avenir de l’humanité ne serait-il pas déjà compromis par la baisse de la fertilité qui s’observe depuis plusieurs décennies ? Ajoutez à cela les effets des injections géniques anti-Covid 19, et vous pouvez sérieusement douter des statistiques annonçant 10 milliards d’êtres humains en 2050 !
La baisse de la concentration de spermatozoïdes chez l’humain est connue depuis de nombreuses années et la synthèse récente de la revue de référence Human Reproduction Update montre une chute encore plus vertigineuse depuis une quarantaine d’années1. Surtout, elle souligne le déclin rapide de la fertilité masculine. Cette publication, de grande ampleur, est fondée sur des centaines d’études publiées sur le sujet et rassemble les données couvrant la période 1973-2018 disponibles dans plus d’une cinquantaine de pays.
Ainsi, en 45 ans, la concentration moyenne de gamètes dans le sperme de la population masculine générale est passée de 101 millions par millilitre (M/ml) à 49 M/ml, soit moitié moins ! En outre, comme le rappelle l’urologue française Valentine Frydman, « 20 % de l’infertilité est d’origine masculine stricte ». Pas étonnant, rien qu’avecce premier constat, que la fécondité chute partout dans le monde.
En France, près de 3,3 millions de personnes, soit environ 1 couple sur 6, sont directement touchées par un problème d’infertilité. Un phénomène qui ne cesse d’augmenter depuis une vingtaine d’années selon les professionnels du secteur, comme le Pr Jean-Marc Ayoubi2.
Le canari dans la mine
Ce déclin rapide de la fertilité masculine ne concerne pas seulement les pays du Nord, mais le monde entier. Le pire, c’est que, loin de ralentir pour se stabiliser, le phénomène est en forte accélération.
« En incluant toutes les données postérieures à 1973, le taux moyen de la chute est de 1,16 % par an au niveau mondial. Ce rythme a plus que doublé depuis le début du XXIe siècle, passant à un déclin de 2,64 % par an sur la période 2000 -2018. » Une accélération qualifiée d’« alarmante » par les auteurs de cette étude. « Nos résultats sont comme le canari dans la mine, déclare M. Levine. Nous avons entre les mains un problème grave qui, s’il n’est pas maîtrisé, pourrait menacer la survie de l’humanité. » Ces tendances concernent également les pays d’Afrique et d’Amérique du Sud3, pays qui n’avaient jamais connu un tel phénomène jusqu’alors.
Avant 2020, d’autres causes
Face à des changements inédits, comme la féminisation du sexe des poissons, de nombreuses études ont occupé des unités de recherche dans le monde.
Les experts évoquent, pêle-mêle, de possibles facteurs : d’abord les causes individuelles liées au mode de vie (tabagisme, sédentarité, alimentation, surconsommation médicamenteuse, etc.), mais aussi les causes globales, notamment environnementales (pesticides et produits de synthèse, pollution, etc.).
Tous les perturbateurs endocriniens4, 5 contenus dans le moindre de nos cosmétiques ou aliments industriels sont des molécules qui agissent directement sur notre système hormonal et qui peuvent engendrer, du fait de leur accumulation (le fameux « effet cocktail »), divers dysfonctionnements : insuffisance ovarienne, spermatogenèse défectueuse, fausses couches, grossesses pathologiques…
La donne change avec le Covid
L’arrivée du Covid a rebattu un peu les cartes. Si les premières mesures coercitives ont conduit certains à évoquer un probable baby-boom dans les neuf mois suivants, sous l’effet de la consolation de la couette, manifestement, il n’en fut rien.
La dépression collective induite par la succession de peurs inoculées, répétées comme un mantra par le pouvoir chaque heure de la journée, n’y est sûrement pas étrangère. La terreur d’une guerre nucléaire potentielle, d’un réchauffement climatique culpabilisant (dont le rôle humain reste à démontrer), les pénuries bien organisées (pas d’huile ni de moutarde en France et les rayons pleins en Italie), l’explosion du prix de l’essence, la menace de coupures d’électricité : bref le pouvoir passe son temps à nous menacer du pire… Ajoutez à cela la dépendance aux écrans, qui remplacent de plus en plus les relations humaines. Et vous comprenez assez aisément pourquoi le baby-boom tant annoncé n’a pas eu lieu.
La vaccination a-t-elle accéléré le déclin ?
En France, l’Insee confirme l’effondrement de la natalité depuis le début de la pseudo-vaccination.
« En 2022, la natalité connaît un décrochage historique, avec des chiffres jamais connus jusqu’ici. Cette tendance, qui a commencé à s’affirmer en juin 2022, c’est-à-dire 9 mois après l’atteinte de taux de vaccination de 85 % dans la population, s’est aggravée depuis le mois d’août, c’est-à-dire après la troisième dose. Pour l’instant, l’Insee ne donne aucune explication à cette baisse inquiétante pour l’avenir démographique du pays6. »
Les naissances repartaient en effet à la baisse dès mars 2022, avec un peu moins de naissances entre mars et juillet 2022 qu’entre mars et juillet 2020. En août 2022, il y a eu en revanche un peu plus de naissances qu’en août 2020. Mais en septembre 2022, les naissances repartent à la baisse, avec 4 % de bébés en moins qu’en septembre 2020, quand l’évolution des naissances n’était pas encore affectée par la pandémie de Covid-19.
La baisse s’intensifie en octobre, avec 6 % de bébés en moins qu’en octobre 2020. Près de 2 300 enfants sont nés chaque jour en France en septembre 2017. Ils n’étaient plus que 2 100 en 2020, quelques mois après le tout début de l’épidémie de Covid. Ils n’ont été que 2 000 en septembre 2022, 9 mois après le passage à la 3e dose… Le phénomène est très inquiétant…
Ailleurs dans le monde, même refrain ?
L’Australie a elle aussi enregistré une baisse de 63 % des naissances après l’introduction des « vaccins » covidés78. D’octobre à novembre 2021, le nombre de naissances a diminué de 21 % par rapport à la moyenne sur une période de 10 ans. Le mois suivant, de novembre à décembre, le nombre de naissances a diminué de 63 %.
« Décembre tombait environ neuf mois après le lancement des vaccins Covid », note D. James de Life-SiteNews à propos de cette période charnière qu’est la grossesse.
Le Dr L. McLindon, spécialiste de la fertilité, affirme avoir observé une augmentation massive des fausses couches chez ses propres patientes après l’introduction des vaccins. Avant l’opération Warp Speed9, le taux de fausses couches chez les patientes de McLindon était de 12 à 15 %. Aujourd’hui, parmi ses patientes vaccinées, il a atteint 74 %.
Taïwan a également connu une chute similaire de 23 % des naissances après le lancement de l’opération Warp Speed.
Aux États-Unis, ces 3 phénomènes inédits
Selon Brighteon.TV, les chercheurs N. Wolf et coll. ont identifié une longue liste de résultats négatifs associés aux vaccins, au-delà même du simple échec de la reproduction.
Ils incluent des problèmes de fertilité masculine affectant le sperme et la fonction prostatique, et de fertilité féminine. La Food and Drug Administration a même été informée à ce sujet dès le 1er avril 2021, sans aucune réaction. Des échographies ont révélé une inflammation et des calcifications anormales chez les fœtus environ huit semaines après l’injection, de même que des anomalies du pénis reconnues par Pfizer dans ses documents internes. Un taux actuel de 87,5 % de fausses couches a été révélé sur le VAERS10. La FOIA (agence américaine pour la liberté d’information11) révèle que Pfizer et les agences de régulation ont caché (ou en tout cas largement minoré) les dangers réels de l’injection contre le Covid pendant la grossesse, alors qu’ils avaient conscience que cela augmentait le risque de malformations congénitales et d’infertilité.
Cette fraude et cette tromperie auraient causé au moins 4 113 décès fœtaux dus à la vaccination contre le Covid-19 rien qu’aux États-Unis contre 2 239 décès fœtaux signalés au VAERS au cours des 30 années précédant les injections contre le Covid-19…12 Rappelons que le VAERS ne représente que 1, 2 ou 3 % des cas réels — en raison des non ou sous-déclarations. Si l’on multiplie le chiffre officiel par 40, qui est le facteur de sous-déclaration le plus souvent utilisé, il s’agirait probablement de 140 000 morts fœtales13.
Quant à l’allaitement des bébés par des mères vaccinées, il pourrait également aggraver le risque de mortalité périnatale. « De faibles niveaux transitoires d’ARNm du vaccin ont été détectés dans le sérum des mères vaccinées avec un transfert occasionnel dans leur lait maternel14. » Or, depuis au moins 2015, la FDA sait que les produits géniques sont excrétés15.
Pfizer et les agences savaient également que l’étude limitée sur les animaux montrait un risque important pour le fœtus en développement, mais ils ont activement choisi de supprimer cette information des documents publics.
Cette information a été révélée grâce à une demande d’accès à l’information américaine (FOI) adressée au Government Department of Health par la Therapeutic Goods Administration (TGA) du gouvernement australien.
Alors corrélation, causalité ou simple coïncidence ?
Bien sûr, les premières interprétations furent traitées de « complotistes » — comme si on pouvait légitimement faire confiance aveuglément à ces castes corrompues. Une analyse plus fine des données semble malheureusement conforter l’idée du rôle causal des injections géniques dans la baisse de la natalité des pays injectés et singulièrement en Suisse.
« Tout d’abord, on observe que la forte baisse du nombre de naissances vivantes intervient précisément neuf mois après l’ouverture de la vaccination à toutes les personnes âgées de 20 à 49 ans. » Ensuite, en comparant entre les régions, « on constate qu’ily a une corrélation entre le recul des naissances et la couverture vaccinale. En Suisse orientale (couverture vaccinale : 49,7 %), les naissances ont reculé de 8,6 % contre 18 % à Zurich (couverture vaccinale : 63,9 %)16. »
Un avocat suisse demande d’ailleurs la suspension définitive de cette injection génique au regard des dégâts notoires chez les enfants17.
Et maintenant ?
Le rôle de la pseudo-vaccination anti-Covid dans la baisse de la natalité et la mortalité néonatale semble statistiquement démontré à travers cette analyse qui ne saurait être exhaustive pour les besoins d’un court article. Toutefois, une analyse des données sur les taux de natalité dans les pays européens montre une baisse significative (pouvant atteindre 19 %) des naissances vivantes chez les 18-49 ans neuf mois après le début des vaccinations Covid, tout particulièrement dans les pays à taux de vaccination élevés.
En tant que pédiatre, permettez-moi d’être particulièrement inquiète. Il faut stopper toutes ces injections au plus vite, non seulement celles contre le Covid, mais aussi celles contre la rougeole, la grippe ou le cancer qui seraient basées sur la technologie ARNm.
Situation au 25.08.2022 Analyse complète des taux de natalité dans 18 (23) pays européens avec des preuves significatives du lien entre la vaccination et la baisse du taux de natalité
« Une baisse significative des naissances caractérise le premier semestre 2022. Dans 15 pays, cette baisse est supérieure à 4 %, et dans 7 pays, supérieure à 10 %. »
Est-elle liée aux campagnes de vaccination covid ?
« Une corrélation négative significative entre la baisse des taux de natalité et la fréquence des vaccinations est constatée dans 14 des 18 pays. »
Attention: rho de Spearman = basé sur le rang, pas sur les données chiffrées.
Le cas de la Suisse est l’une des plus spectaculaires. La baisse de la natalité y est massive, et intervient dans une période qui correspond très bien à la vaccination des femmes en âge de procréer avec un décalage de 9 mois.
Si l’on prend du recul historique, la baisse reste absolument spectaculaire en Suisse. En temps ordinaire, médecins, statisticiens, psychologues, sociologues devraient tous être sur le coup pour comprendre ce qui explique cette baisse de la natalité en Suisse et en Europe.
Nos biologistes et profs de médecine préférés (Tatianna et Papanours) en rajoutent : la protéine spike ce n’est pas bon du tout pour les spermatozoïdes et la reproduction :
Bioweapon : Preuves solides de la capacité à infecter le sperme humain in vitro, l’expression de molécules telles que ACE2, BSG, CTSL et TMPRSS2 et leur rôle dans l’entrée virale dans les cellules hôtes des testicules humains tout comme le sperme éjaculé : https://mdpi.com/2073-4409/11/17/2631
Ces ACE2 existent aussi (Douglas et al., 2004) : — sur les ¢ de Sertoli (¢ de soutien à rôle nourricier vis-à-vis des futurs spermatozoïdes, tapissant la paroi des tubes séminifères du testicule, elles sont l’équivalent chez la femme des ¢ folliculaires=cellules de la granulosa)
– sur les ¢ de Leydig (=¢ interstitielles qui par le biais de la sécrétion de 85 % de la testostérone — reste provenant des surrénales —, contrôlent dév. + maintien des caractères sexuels 1aires et 2aires + fonctionnement de l’appareil repro. masculin + comportement sexuel.)
http://association.ametist.org/wp-content/uploads/2016/07/Logo-Ametist-web5.jpg00Nicole Delépinehttp://association.ametist.org/wp-content/uploads/2016/07/Logo-Ametist-web5.jpgNicole Delépine2024-01-18 16:50:502024-01-18 16:50:50la baisse de la natalité très aggravée avec les injections géniques anticovid expérimentales
Les mensonges de la propagande Gardasil confrontés à la réalité scientifique.
PAR G DELEPINE
Le 28 février 2023 le président Macron s’est comporté en représentant de commerce de Sanofi Pasteur MSD dans un collège de Jarnac en annonçant une grande campagne de vaccination après avoir déclaré en décembre 2022 « qu’il n’était pas opposé à une obligation vaccinale par le Gardasil ». Dans ses discours il a répété les crédos des firmes pharmaceutiques prétendant, par exemple, que ce vaccin serait responsable de 6000 cancers annuels et que le vaccin permettrait « d’éradiquer le papillomavirus ». Ces contrevérités flagrantes suggèrent que ses conseillers sont peu compétents, très mal informés ou corrompus.
Notre nouvelle édition du livre rapporte les faits avérés en citant leurs sources afin que chacun puisse les vérifier. Elle rappelle entre autre :
1°) Qu’il est impossible d’éradiquer les papillomavirus (HPV) qui disposent de nombreux réservoirs animaliers et dont il existe au moins 200 souches différentes alors que les derniers vaccins n’en combattent actuellement que 9.
Cette prétention d’éradiquer le virus était une des promesses mensongères des injections anti-covid dont chacun a pu observer l’échec total.
2°) Que le lien de causalité exclusive des HPV sur la survenue des cancers du col n’est pas établi. Il existe certes une relation statistique entre infection et cancer mais une telle relation est retrouvée avec de très nombreux autres facteurs tels que la précocité des rapports sexuels, le nombre de partenaires, les déficits immunitaires dus au Sida ou aux traitements médicamenteux, le nombre de rapports sexuels, des infections à herpès et chlamydias, le tabagisme, le nombre d’enfants, la durée de prise de pilule…Le HPV n’est qu’un des nombreux facteurs statistiquement liés aux cancer du col. Et comme on nous le répète constamment dès qu’une complication survient après un vaccin « corrélation statistique ne signifie pas causalité »
L’infection à HPV touche plus de 80% des femmes sexuellement actives, ne donne aucun signe et disparait spontanément en moins de deux ans dans la quasi-totalité des cas. Sa persistance éventuelle constitue vraisemblablement un témoin d’une activité sexuelle importante responsable de nouvelle contamination et aussi de microtraumatismes et d’inflammations à répétition, deux facteurs dont la responsabilité dans l’apparition de cancers est unanimement reconnue. Comme le constatent tous les enquêteurs « sur les lieux d’un crime on peut trouver le coupable mais aussi des témoins ».
D’ailleurs la littérature internationale rapporte que 10% à près de 50% des cancers du col surviennent hors de la présence de HPV.
Mais depuis que le vaccin est sur le marché les articles publiés se focalisent uniquement sur les HPV car ils constituent les coupables idéaux (les seuls rentables).
Dans la mesure ou ces virus ne sont pas la cause unique indispensable à la survenue du cancer il est évident que leur éventuelle suppression ne peut entrainer la disparition de ce cancer.
3°) La consultation des registres officiels des cancers montre que 17 ans après les campagnes de vaccination généralisée, le nombre de cancers n’a baissé nulle part et a même augmenté dans les groupes d’âge les plus vaccinés contrairement à ce qu’annoncent le gouvernement et les médias.
L’Australie a été le premier pays à organiser la vaccination systématique pour les filles de 12-13 ans dès 2007, puis en rattrapage pour les filles de 14-26 ans en 2009. D’après l’Australian Institute of Health and Welfare, entre 2007, début de la vaccination et 2022 le nombre de nouveaux cancers invasifs a augmenté de 28 % passant de 756 à 942 et l’incidence standardisée globale a cessé de diminuer, fluctuant autour de 7, alors qu’elle avait chuté de plus de 50 % entre 1987 (15/100000) et 2006 (7,1/100000). Le plus inquiétant est l’accroissement de l’incidence des cancers invasifs dans les groupes des femmes qui avaient entre 15 et 24 ans lors de leur vaccination et qui ont maintenant entre 30 et 39 ans. Dans ce groupe d’âge qui regroupe l’essentiel des vaccinées parvenues à l’âge du cancer, le nombre annuel de nouveaux cas est passé de 172 en 2007 à 257 en 2018 (+50 %), tandis que l’incidence a augmenté de 40 % (de 10,6 en 2007 à 14,6 en 2021). Cette aggravation significative du risque de cancer invasif depuis la vaccination est illustrée par la courbe suivante que chacun peut obtenir sur internet auprès de l’agence sanitaire australienne à l’adresse : https:/www.aihw.gov.au/reports/cancer/cancer-data-in-australia/contents/cancer-incidence-by-age-visualisation
La Grande-Bretagne a organisé la vaccination scolaire pour les filles de 12 à 13 ans, avec un rattrapage pour les 14-18 ans dès 2008. D’après le Public Health England, la couverture vaccinale complète des filles âgées de 13 à 14 ans à 3 injections atteignait 86,7 % dès 2013/14.
Les données publiées par l’agence officielle Cancer Research UK (CRUK) confirment l’efficacité du dépistage cytologique qui a fait baisser l’incidence des cancers invasifs d’un tiers (de 13 /100 000 à 9 /100 000) entre 1993 et 2006 et constatent l’échec actuel de la vaccination en précisant: « au cours de la dernière décennie, au Royaume-uni (entre 2006-2008 et 2016-2018 les taux d’incidence du cancer de l’utérus chez les femmes sont restés stables » Cette stabilité globale masque l’augmentation dans les groupes les plus vaccinés grâce à la diminution franche chez les femmes les plus âgées, non vaccinées. Les Anglaises de plus de 50 ans ont en effet bénéficié d’une diminution d’incidence, atteignant 33 % chez les plus de 80 ans. A l’opposé, le groupe des 20-34 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence de 19 % des cancers invasifs passée de 16 /100 000 en 2007 à 19 /100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée en mars 2023.
En Suède, le Gardasil est utilisé depuis 2006, et le programme de vaccination a été généralisé en 2010, avec une couverture vaccinale des adolescentes âgées de 12 ans de plus de 80 %. En 2012-2013, avec un programme de rattrapage, la quasi-totalité des jeunes filles de 13 à 18 ans étaient vaccinées. Globalement depuis la vaccination, l’incidence standardisée du cancer du col de l’utérus a augmenté de 13 % passant de 9,4 en 2006 à 10,8 en 2020. Cet accroissement est en partie lié à l’augmentation de l’incidence chez les femmes de 20 à 24 ans, les plus vaccinées (de 1,9 en 2006 à 3,3 en 2020)
En Norvège depuis la vaccination, le registre du cancer montre une augmentation d’incidence de 6 % constatée chez les femmes de 25-34 ans vaccinées à près de 90 %
Aux USA d’après la Cancer Statistics Review, l’incidence standardisée du cancer invasif du col avait diminué de 33 % entre 1989 et 2006 (de 10,7 à 6.67) grâce au dépistage et ne diminue plus depuis la vaccination (6,4 en 2019 comme en 2007). Dans ce pays où la couverture vaccinale est moins élevée que dans les pays précédents (proche de 60 %), on observe la même discordance selon les groupes d’âge .Les femmes de plus de 65 ans, (non vaccinées) bénéficient d’une diminution de 30 % de leur risque (de 13 en 2007 à 9.6 en 2019), tandis que les femmes plus jeunes, qui regroupent toutes les vaccinées, ont vu leur risque augmenter de 6 % (6,3 en 2012 à 6,7 en 2019.
La Lettonie est le seul pays européen qui a imposé la vaccination anti HPV par la loi. En 2020, selon l’OMS71, l’incidence standardisée des cancers du col culminait à 18/100000 (taux le plus élevé d’Europe, trois fois plus élevée qu’en France!)
En France métropolitaine où la couverture vaccinale anti-HPV est faible (environ 38 % en 2020), , d’après Santé Publique France, l’incidence du cancer du col de l’utérus a constamment diminué et est même passée au-dessous du seuil de 6/100000 définissant d’après l’OMS les maladies rares.
Il est très inquiétant que ces excellents résultats français avec taux de cancer très bas et de mortalité très faible, soient menacés par une obligation envisagée par nos politiques, pour certains désinformés et pour d’autres corrompus par Big Pharma.
La lecture de ce livre et la plus large diffusion des informations scientifiques indiscutables qu’il recèle constitue le meilleur moyen de lutter contre la propagande marchande et l’obligation Gardasil que certains veulent imposer.
https://association.ametist.org/wp-content/uploads/2023/05/GARSASIL-ET-CANCER-NOUVELLE-EDITION-2023.jpg25501594Nicole Delépinehttp://association.ametist.org/wp-content/uploads/2016/07/Logo-Ametist-web5.jpgNicole Delépine2023-05-16 12:52:282023-05-16 12:54:03RESISTONS A LA PRESSION MENSONGERE : le GARDASIL NE PREVIENT PAS LE CANCER
Association AMETIST message de Line Turco la présidente et le Bureau
Le 15 mai 2023 Mme, Mademoiselle, Monsieur, chers amis, chers parents, chers adhérents
Retrouver la liberté de soigner et d’être soigné et informé pour le traitement des cancers de l’enfant et l’adolescent
Protéger les enfants cancéreux des campagnes de vaccination anti covid, anti papillomavirus (Gardasil) et des graves atteintes à leur développement en refusant la propagande de la dite « éducation sexuelle » qui met en danger leur avenir par effraction cérébrale et leurs capacités de résistance au cancer ou autres maladies chroniques
Rendre aux parents leur rôle majeur de protection de leurs enfants et donc des choix thérapeutiques et éducationnels
Depuis notre dernier courrier, les membres d’AMETIST ne sont pas restés inactifs.
Les membres disponibles se sont réunis en direct, pour se retrouver entre humains en chair et en os. Ils ont poursuivi nos combats communs en informant directement ou par mail ou/et téléphone les parents en déshérence, ne sachant plus à qui s’adresser. Avec la disparition progressive du corps médical ouvert, ces parents « perdus » se sont multipliés.
Comme les années précédentes, nous avons dû adresser quelques patients à l’étranger pour avoir d’autres avis thérapeutiques, éviter une amputation et/ou abandon et euthanasie.
Mme Line Patras, notre présidente depuis 2019, a continué à répondre aux sollicitations des familles ainsi que notre trésorière et médecins conseillers fort scandalisés par la publicité médiatique sur le covid et sur le Gardasil après les annonces retentissantes du président de la République en mars 23 pour vacciner toutes les cinquième de collège.
Le combat que mène AMETIST depuis sa création en 1990 pour la liberté de soigner en oncologie pédiatrique est malheureusement de plus en plus d’actualité dans davantage de spécialités médicales et il est impératif de l’expliquer. Le monopole de traitement instauré par les plans cancer successifs (depuis 2003) rend encore plus difficile pour les médecins de choisir pour leur patient un traitement individualisé en fonction des données actuelles de la science et pour les malades d’obtenir un véritable choix entre les schémas qui ont fait leurs preuves dans le monde réel et les traitements expérimentaux et les nouvelles molécules hors de prix.
Les établissements et les médecins sont soumis aux ukases des agences régionales de santé dont le pouvoir s’est durci depuis 2009. Certains praticiens compétents et expérimentés se voient interdits d’opérer les enfants ou de les traiter par radiothérapie alors que c’était leur pratique quotidienne depuis de nombreuses années. S’en suivent des pertes de chances en chirurgie conservatrice, comme en chimiothérapie.
Les autorisations s’imposent à tous les établissements, publics ou privés, conventionnés ou non .Cette autorisation ne s’obtient que s’ils appliquent chez la majorité des malades les « protocoles » imposés par l’institut du cancer, des essais thérapeutiques pour l’essentiel. Les interdictions d’opérer des sarcomes hors de quelques centres agréés s’étendent aux adultes depuis quelques mois. IL N’EXISTE PLUS DE MEDECINE LIBRE EN FRANCE.
« Quel drame de savoir que des possibilités existent et de ne pas y avoir accès alors que les résultats sont là des décennies plus tard sous forme de témoignages d’anciens patients ayant à l’époque pu échapper au chemin tracé imposé. Ils ont pu sauver leur membre et leur vie grâce à des traitements de haut niveau adaptés de très près à chacun ». On nous impose de ne plus traiter des malades mais des maladies.
Les médecins ont de moins en moins le droit de choisir le traitement le plus efficace pour chaque malade, le conseil de l’ordre poursuivant de plus en plus ceux qui ne suivent pas rigoureusement la doxa gouvernementale. Notre combat est plus que jamais nécessaire afin que chaque médecin dans toute structure puisse avoir la liberté d’utiliser des traitements éprouvés publiés si c’est le choix éclairé des parents.
Les conséquences des injections anti-covid forcées se dévoilent dans toute leur horreur et en particulier des turbocancers, d’où de nombreux questionnements des familles.
Grâce à un gros don ciblé d’une bénévole bretonne, nous avons distribué le livre « les enfants sacrifiés du covid ed FauveS de G et N Delépine, à de nombreux députés et sénateurs, et élus, par courrier en juillet 22 et par rencontre directe avec d’autres membres de l’association dans diverses régions de France, le livre permettant d’amorcer le dialogue. Certains élus ont été à l’écoute et réceptifs à ces informations.
Sur les plans administratif et judiciaire, l’association se bat en France et en Europe pour faire valoir les droits des patients et des médecins.
Ainsi, AMETIST continue à se battre pour que les enfants soient soignés en fonction des progrès réels, prouvés de la science et protégés des agressions physiques et psychologiques imposées par la bureaucratie. Nous continuons inlassablement à informer à travers les différentes conférences et réponses individuelles par mail ou téléphone ou posées à travers les sites (https://association.ametist.org/ mail : lt4@live.fr
Nous avons besoin de vous, de votre mobilisation et/ou de votre soutien physique et/ou financier. Soutenez-nous en adhérant à l’association, en la faisant connaitre, en nous donnant les moyens de faire les recours juridiques qui feront bouger les choses, et d’aider les familles dont les enfants sont touchés à trouver des solutions pour avoir droit aux traitements les meilleurs y compris à l’étranger.
BON DE SOUTIEN 2023 à découper et à joindre à votre envoi
https://association.ametist.org/wp-content/uploads/2022/10/VISUEL-TSHIRT-AMETIST-scaled.jpg18512560Nicole Delépinehttp://association.ametist.org/wp-content/uploads/2016/07/Logo-Ametist-web5.jpgNicole Delépine2023-05-16 12:12:312023-05-16 12:12:31L’association Ametist pour les enfants cancéreux continue à se battre pour les soins individualisés
[Illustration : « Cette production parvient à accumuler 10 mensonges en moins de 2 500 mots sans se référer à aucun chiffre réel, tout en se présentant factuel : un exploit en matière de désinformation ! »
AFP / DR]
Par Dr Gérard Delépine
Un “article” récent de l’AFP Factuel – la cellule “fact-checking” de l’Agence France-Presse (AFP) – repris par Actu Orange fait la promotion du vaccin anti-HPV (papillomavirus humain) Gardasil. Il tente de mettre en doute les faits rapportés dans ma tribune publiée par FranceSoir et ignore soigneusement les données officielles. Cette production parvient à accumuler 10 mensonges en moins de 2 500 mots sans se référer à aucun chiffre réel, tout en se présentant factuel : un exploit en matière de désinformation ! Contre-vérification en détails.
1) NON, IL N’EXISTE AUCUNE PREUVE D’EFFICACITE ANTICANCER DU GARDASIL. Prétendre le contraire, comme le fait l’AFP Factuel, est mensonger :
Pour expliquer l’absence de preuve d’efficacité contre le cancer invasif (pourtant essentielle pour un vaccin qui revendique cet objectif), l’Agence France-Presse (AFP), via sa cellule de fact-cheking “AFP Factuel”, répète la propagande du laboratoire MSD, qui commercialise le Gardasil 9 :
“Il peut se passer entre 10 et 30 ans entre l’infection par le papillomavirus et l’apparition du cancer du col de l’utérus : ce délai n’est pas compatible avec des études cliniques sur ce critère”.
MSD et l’AFP reconnaissent donc que l’efficacité anticancer n’a pas été étudiée. Mais cela ne les empêche pas d’utiliser cette prétendue efficacité non comme argument publicitaire !
Pourtant la Haute Autorité de santé (HAS) précise dans son avis de septembre 2017 sur le Gardasil 9 :
“Les données disponibles à ce jour ne permettent pas de répondre aux interrogations concernant l’efficacité en termes de prévention des cancers, comme pour les vaccins GARDASIL et CERVARIX.”
Alors pourquoi l’AFP ment-elle en déclarant fausse cette diapositive qui rappelle simplement l’absence de preuve d’efficacité contre le cancer ? Mensonge n°1 !
Et il faudrait prendre pour parole d’évangile la déclaration du professeur Jean-Luc Prétet, directeur du Centre national de référence sur les papillomavirus : “Il y a une vraie protection du vaccin contre les cancers, c’est clairement démontré par les études épidémiologiques« . Ce dernier ne cite pourtant pas une seule de ces prétendues études. Il faudrait donc le croire, sans preuve, alors que toutes les données officielles du monde réel démontrent le contraire ?
2) NON, EN AUSTRALIE LES CANCERS INVASIFS NE DISPARAISSENT PAS !
L’AFP Factuel ment en déclarant faux un authentique graphique officiel australien
L’éradication des cancers du col partout annoncée par les médias est totalement contredite par les déclarations officielles du gouvernement australien de 2022 reproduites ci-après :
“Le nombre de diagnostics annuels de cancer du col de l’utérus est initialement passé de 966 en 1982 à 1 144 en 1994, puis a diminué à 695 en 2002 et a depuis augmenté régulièrement pour atteindre 839 en 2017. En 2021, on estime que 913 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus vont être diagnostiqués en Australie.”
Ce graphique officiel du gouvernement australien illustre l’efficacité du dépistage cytologique (chute du nombre annuel de nouveaux cas de cancers invasifs de 50% entre 1994 et 2002) et dément la propagande permanente des médias et notamment de l’AFP qui prétend que l’Australie verrait l’éradication des cancers invasifs du col grâce à la vaccination, alors que depuis celle-ci leur nombre augmente.
La capture d’écran confirme bien l’origine officielle du graphique et permet à chacun d’en vérifier l’authenticité. Mais l’AFP se contente de le déclarer… “faux”. Mensonge n°2 !
De plus, contrairement aux assertions de l’AFP Factuel (mensonge n°3 !),il ne s’agit pas de projections maisbien des chiffres avérés enregistrés et publiés par les registres officiels des cancers australiens expliquant que les données du graphique publié en 2022 s’arrêtent à 2017.
On ne peut pas croire qu’il s’agirait d’une simple erreur de l’AFP car la source officielle du graphique était rappelée en rouge. L’Agence France-Presse pouvait par conséquent facilement le vérifier.
Barrer d’une croix rouge et qualifier de faux un graphique officiel du gouvernement australien témoigne de sa volonté forcenée d’ignorer les faits qui dérangent.
Plutôt que de rapporter des faits avérés et chiffrés, l’AFP Factuel donne la parole à des experts qui se trompent ou bien mentent.
Ainsi M. Prétet prétend sans aucune vérification (mensonge n°4 !) :
“Cette augmentation, si elle existe, ne touche sûrement pas les femmes vaccinées, ce sont des femmes qui sont plus âgées, autour de 45 ans”.
Malheureusement pour lui, cette augmentation constitue un fait avéré et les chiffres rapportés en 2022 par l’Australian Institute of Health and Welfare prouvent que contrairement à ce qu’il pense, chez les 20-39 ans (le groupe le plus vacciné), le nombre annuel de nouveaux cancers de l’utérus a augmenté de plus de 50%, passant de 195 en 2001 (cinq ans avant la vaccination) à 331 en 2021 (après 15 ans de vaccination).
L’AFP Factuel utilise comme témoin de prétendus “experts” qui n’étudient, ne vérifient ni ne citent aucun chiffre officiel, mais récitent seulement leur crédo (celui des laboratoires pharmaceutiques, du gouvernement et de l’Institut Pasteur). Ainsi, l’AFP ment en se prétendant « factuelle » !
3) EN SUÈDE, DEPUIS LA VACCINATION, LES CANCERS DU COL AUGMENTENT. Prétendre le contraire constitue un mensonge de plus (le 5ème) :
L’AFP et son expert Francesco Salvo prétendent que les chiffres cités dans ma tribune seraient “inexacts et (représenteraient) une sélection aléatoire et malveillante des données”. Mais ceux-ci ne citent aucune donnée officielle à l’appui de leur croyance.
D’ailleurs, ils reconnaissent eux-mêmes plus loin : “L’incidence des cancers augmente” en attribuant cette augmentation à “des progrès diagnostiques”,alors que les critères anatomopathologiques utilisés pour diagnostiquer le cancer invasif n’ont pas évolué depuis 50 ans.
Mais revenons aux faits, rappelons les données officielles suédoises
En 2017, le Centre suédois de prévention du cancer du col de l’utérus (NKCx) a constaté une augmentation très significative (p < 0,03) de l’incidence du cancer du col de l’utérus passée de 9,7/100 000 en 2006-2009 (date d’introduction de la vaccination) à 11,5/100 000 en 2014-2015.
En avril 2018, un article de l’Indian Journal of Medical Ethics (IJME) a soulevé l’hypothèse que l’augmentation du cancer du col de l’utérus serait liée à la vaccination, mais ce texte a été retiré ultérieurement car son auteur, craignant des représailles, avait utilisé un pseudonyme, violant ainsi la politique de transparence de l’IJME.
En 2019, l’augmentation de l’incidence du cancer du col de l’utérus a été confirmée par Lars Jørgensen lors d‘un plaidoyer tentant d’innocenter la vaccination.
En 2020, l’étude de J. Wang rappelle, de même, l’augmentation d’incidence des cancers invasifs du col dans la dernière décennie :
“Parmi les femmes correctement dépistées avec des résultats normaux, il y a eu une forte augmentation de l’incidence en 2014-2015 par rapport aux années précédentes”.
En 2022, l’augmentation d’incidence est confirmée et analysée par Avalon Sundqvis qui ne parvient pas à en trouver une explication satisfaisante.
Au total, l’augmentation de l’incidence des cancers du col depuis la vaccination en Suède est constatée, confirmée et commentée par tous les articles scientifiques publiés depuis plus de dix ans. Comment l’auteur de cet article publié par l’AFP peut-il l’ignorer ?
La présidente de MSD France, pourtant censée s’intéresser aux chiffres officiels du cancer du col, Clarisse Lhoste, mérite la palme de l’ignorance (ou de la désinformation ?). Elle a osé présenter la Suède, comme un “pays en passe d’éliminer les cancers liés au HPV grâce à la vaccination et au dépistage”.
Ceci est le 6ème mensonge ! Et il est relayé complaisamment par l’AFP. Il s’agit d’un exemple caricatural de négation d’une réalité qui dérange, et/ou d’une propagande réfléchie qui paraît appliquer les conseils les plus manipulatoires en la matière : un mensonge répété mille fois se transforme-t-il en réalité ?
L’AFP ment par omission (7ème mensonge !) en ne rappelant pas l’augmentation de l’incidence des cancers en Grande-Bretagne chez les femmes les plus vaccinées
En Grande-Bretagne, on observe, depuis les campagnes de vaccination, la même évolution paradoxale qu’en Australie et en Suède associant l’absence de diminution globale d’incidence sur l’ensemble de la population, à une augmentation d’incidence chez les femmes âgées de 25 à 34 ans (groupe le plus vacciné) comme le rapporte cette capture d’écran de la figure publiée sur le site officiel Cancer research UK :
Mais bizarrement, l’AFP et ses “experts” feignent d’ignorer cette augmentation d’incidence observée dans le groupe de femmes anglaises les plus vaccinées.
L’AFP ment encore (8ème mensonge !) par omission en ne rappelant pas que la France, peu vaccinée, souffre moins du cancer invasif que les pays très vaccinés.
En France, en 2018, l’incidence standardisée monde était de 6,1 /100 000.Depuis, elle est passée en dessous de 6 / 100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l’OMS) alors qu’elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège. Et ce sont ces pays qu’on nous donne en exemple !
L’AFP ment encore en prétendant que le Gardasil est sans risques (9ème et 10ème mensonges !)
Elle ne fait que citer les chiffres d’agences gouvernementales qui refusent d’enregistrer les complications post vaccinales et nient systématiquement tout lien de causalité entre complication et vaccin. En détails :
– 9ème mensonge : l’Agence France-Presse fait semblant d’ignorer la mise en garde de l’avisde la Commission de la transparence de septembre 2017 confirmant l’existence de risques neurologiques :
“un surrisque de syndrome de Guillain-Barré d’environ 1 à 2 cas pour 100 000 jeunes femmes vaccinées avec GARDASIL ou CERVARIX a été observé dans une étude épidémiologique réalisée par l’ANSM et la CNAMTS.”
– 10ème mensonge : elle cache les nombreuses manifestations de familles qui ont fait vacciner leurs enfants et se plaignent des complications survenus depuis les injections.
On ne peut pas traiter ces manifestants d’antivax puisqu’ils ont fait vacciner leurs enfants alors que ce n’était pas obligatoire… Ils ne dénoncent d’ailleurs pas la vaccination en général, mais seulement la vaccination anti-HPV.
Aux États-Unis, en août 2022, une commission judiciaire a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin anti-HPV Gardasil. Mais l’AFP ne dit mot des procédures en cours. Comment peut-elle les ignorer ?
Respecter les faits et le droit que le public a de les connaître constitue le devoir primordial d’un journaliste.
Conformément à ce devoir, le/la journaliste défendra, en tout temps, les principes de liberté dans la collecte et la publication honnête des informations, ainsi que le droit à un commentaire et à une critique équitables. Il/elle veillera à distinguer clairement l’information du commentaire et de la critique.
Le/la journaliste ne rapportera que des faits dont il/elle connaît l’origine, ne supprimera pas d’informations essentielles et ne falsifiera pas de documents. Il/elle sera prudent dans l’utilisation des propos et documents publiés sur les médias sociaux.
Plus de dix mensonges en un seul article. Aucune enquête objective. Aucun fait avéré. Aucun chiffre officiel rapporté. La parole donnée à de prétendus experts qui récitent leur crédo publicitaire mensonger sans modération. Voilà le travail accompli par AFP factuel. Il paraît légitime de se demander si cette agence fait encore du journalisme.
http://association.ametist.org/wp-content/uploads/2016/07/Logo-Ametist-web5.jpg00Nicole Delépinehttp://association.ametist.org/wp-content/uploads/2016/07/Logo-Ametist-web5.jpgNicole Delépine2023-04-20 14:31:082023-04-20 14:31:08attention protégez vos enfants du Gardasil qui augmente le taux de cancers chez les vaccinées
https://association.ametist.org/wp-content/uploads/2022/10/VISUEL-TSHIRT-AMETIST-scaled.jpg18512560Nicole Delépinehttp://association.ametist.org/wp-content/uploads/2016/07/Logo-Ametist-web5.jpgNicole Delépine2022-10-12 19:41:412022-10-12 19:41:41Allez courir à Reims avec le tshirt de l’association Amétist le 16 octobre 22
Pendant ces deux années et demie de vie hors du réel, les membres de l’association Ametist disponibles ont tenté de poursuivre les buts de nos combats communs en informant le plus souvent directement par mail ou/et téléphones les parents et patients en déshérence, ne sachant plus à qui s’adresser. Nous avons dû adresser quelques patients à l’étranger pour avoir d’autres avis thérapeutiques et en particulier éviter une amputation.
Mme Line Patras, notre présidente depuis 2019 a, en particulier, beaucoup parlé et discuté avec les parents ainsi que nos secrétaires, trésorière, et médecins conseillers fort sollicités par la pub médiatique sur le covid et le traitement de leurs enfants et adolescents.
Nous écrivions en 2019 que le combat que mène AMETIST depuis sa création en 1990 pour la liberté de soigner en oncologie pédiatrique est de plus en plus d’actualité, car le monopole de traitement instauré par les plans cancer successifs (depuis 2003 ) rend encore plus difficile pour les médecins de choisir pour leur patient un traitement individualisé en fonction des données actuelles de la science et pour les malades d’obtenir un véritable choix entre les schémas éprouvés, et les traitements basés sur la recherche et les nouvelles molécules..
Les établissements et les médecins sont soumis aux autorisations des agences régionales de santé dont le pouvoir s’est raffermi depuis 2009 et certains praticiens compétents et expérimentés se voient interdits d’opérer les enfants ou de les traiter par radiothérapie, alors que c’était leur pratique depuis de nombreuses années. S’en suivent des pertes de chances en chirurgie conservatrice dans les cancers osseux entre autres, comme en chimiothérapie. Ces autorisations s’imposent à tous les établissements qu’ils soient publics ou privés, conventionnés ou non. Cette autorisation ne s’obtient que s’ils appliquent chez la majorité des malades les « protocoles » imposés par l’institut du cancer.
« Quel drame de savoir que des possibilités existent et de ne pas y avoir accès alors que les résultats sont là des décennies plus tard sous forme de témoignages d’anciens patients ayant à l’époque pu échapper au chemin tracé imposé. Ils ont pu sauver leur membre et leur vie grâce à des traitements haute couture adaptés de très près à chacun ».
Tout cela reste plus que jamais vrai car comme nous l’avons tous vécu depuis février 2020 les médecins ont de moins en moins le droit de choisir le traitement le plus efficace pour leurs patients, le conseil de l’ordre poursuivant de plus en plus ceux qui ne suivent pas rigoureusement la doxa gouvernementale.
Notre combat se poursuit plus que jamais afin que chaque médecin dans toute structure puisse avoir la liberté d’utiliser des traitements éprouvés publiés si c’est le choix éclairé des parents.
Malheureusement d’autres obligations existent et/ou menacent nos enfants. La volonté ouverte de nos gouvernants d’imposer l’injection génique expérimentale anticovid aux enfants y compris les plus jeunes est combattue par de nombreux collectifs de parents auxquels nous apportons notre aide. Nous avons participé à des campagnes d’information sur le mésusage du masque et ses dangers et sur les dramatiques effets secondaires des pseudovax chez les jeunes, pourtant à risque zéro du covid et ne transmettant pas le virus, donc chez lesquels l’injection est à bénéfice zéro et à risques importants (myocardites, troubles menstruels, maladie auto-immune, lymphomes etc… )
Grâce à un gros don ciblé d’une de nos bénévoles nous avons pu distribuer le livre « les enfants sacrifiés du covid ed fauves de G et N Delépine, à de nombreux députés et sénateurs, élus, par courrier en juillet 22 et par rencontre directe avec d’autres membres de l’association dans diverses régions de France, le livre permettant d’amorcer le dialogue.
Le projet de loi visant à imposer la vaccination par Gardasil aux filles et garçons, alors que les résultats sont inquiétants, est un exemple du poids des autorités sur notre santé et notre libre arbitre. Sur les plans administratif et judiciaire, l’association se bat en France et en Europe pour faire valoir les droits des patients et des médecins.
Ainsi, AMETIST continue à combattre pour que les enfants soient soignés en fonction des progrès réels, prouvés de la science. Nous continuons inlassablement à informer à travers les différentes conférences et réponses individuelles nombreuses par mail ou téléphone ou posées à travers les réseaux (https://association.ametist.org/ et Facebook AMETIST).
Nous avons besoin de vous, de votre mobilisation auprès de vos amis, et connaissances, et de votre soutien financier aussi petit soit-il en ces temps difficiles . Soutenez-nous en adhérant à l’association, en la faisant connaitre, en nous donnant les moyens de faire les recours juridiques qui feront bouger les choses, et d’aider les familles dont les enfants sont touchés à trouver des solutions pour avoir droit aux traitements éprouvés.
La présidente Line Turco-Patras et le bureau
BON DE SOUTIEN 2022 à découper et à joindre à votre envoi ……………………………Euros
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AMETIST Bat C, 50 bis Avenue de la République 93190 LIVRY GARGAN
https://association.ametist.org/wp-content/uploads/2019/03/Comment-protéger-son-bébé-des-11-vaccins-obligatoires-en-toute-légalité.jpg12451920Nicole Delépinehttp://association.ametist.org/wp-content/uploads/2016/07/Logo-Ametist-web5.jpgNicole Delépine2022-10-05 16:26:062022-10-05 16:26:06Nouvelles de l’association Ametist pour la défense des enfants cancéreux
Selon les CDC, organismes officiels du ministère de la santé américain (un fédéral, et un par état) « le VAERS est un système national d’alerte précoce permettant de détecter les éventuels problèmes de sécurité des vaccins homologués aux États-Unis. » Étant donné le volume des rapports, la sonnette d’alarme devrait être tirée partout. Pourtant, ce n’est pas le cas.[1]
Les chiffres les plus récents du CDC publiés le 29 juillet 2022 font état de 1 622 882 événements indésirables au total, dont 56 021 rapports d’invalidité permanente après la vaccination, 33 247 événements mettant la vie en danger, 170 749 hospitalisations, 1134 anomalies congénitales et 29 981 décès signalés pour les USA.
Ce qui frappe le plus tous les commentateurs objectifs est l’augmentation faramineuse de signalements depuis l’introduction des injections géniques, frauduleusement appelées vaccins, en comparaison avec les trente années précédentes. Or ce site fonctionnait de la même manière : signalements, puis vérifications avant publication, depuis ces trois décennies.
La comparaison publiée par le VAERS avec les autres vaccins ne souffre pas de doute : les décès liés aux vaccins sont indiscutablement plus élevés à la suite des injections à ARNm supposées anticovid :
Par million de doses administrées aux USA :
Vax anticovid : vingt décès par million depuis leur autorisation en 2020
H1N1 et tous vaccins entre 2006 et 2019 : 0,5 décès par million
Ces événements « indésirables » « accidents, blessures » selon les termes américains utilisés sont de fait des complications médicales de traitement supposé préventif injecté à des personnes en bonne santé. Est-ce acceptable ? De fait, ces maladies induites peuvent se décliner par catégorie comme ici les myocardites qui touchent particulièrement les jeunes pourtant à risque zéro de covid et ne justifiant donc sous aucun prétexte de recevoir ce poison.
Avant l’autorisation d’utilisation d’urgence des vaccins COVID en décembre 2020, dans toute l’histoire du VAERS, il n’y avait eu que 930 953 événements indésirables signalés sur une période de 32 ans.
En 19 mois seulement, cependant, il y a eu plus de 1,5 million de rapports — et tous concernent les vaccins COVID.
Il y a eu 150 % de plus d’événements indésirables signalés pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que ce qui a jamais été signalé dans l’histoire du VAERS — pour TOUS les vaccins.
Depuis la création du VAERS en 1990, seuls 5 039 décès ont été signalés au système pour tous les vaccins avant l’approbation des pseudo vaccins COVID-19. Il y a eu près de 600 % de décès signalés en plus pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que pour l’ensemble des vaccins dans toute l’histoire du système.
La base de données VAERS reçoit normalement entre 30 000 et 50 000 rapports par an, dont environ 8 à 13 % sont classés comme graves (c’est-à-dire associés à une invalidité, une hospitalisation, une maladie potentiellement mortelle ou un décès), selon l’outil de recherche principal VAERS des CDC.
En 2021, le nombre de rapports d’événements indésirables déclarés au VAERS a été multiplié par 30 tous liés à l’injection Pfizer. Selon des documents récemment publiés par la FDA en février 2021, elle a embauché plusieurs centaines d’employés supplémentaires pour traiter les événements indésirables (information pourtant niée par nos pseudo experts des médias).
MALHEUREUSEMENT LE MENSONGE A RÉGNÉ EN MAÎTRE PENDANT LA CRISE COVID.
« les CDC n’ont pas analysé le VAERS pour y déceler des signaux d’alerte précoce en matière de sécurité pendant plus d’un an après le début de la campagne de vaccination, ce qui constitue un dysfonctionnement grave », Il n’y a pas non plus de raison crédible pour expliquer pourquoi ils ont attendu jusqu’au 31 mars 2022 pour calculer les PRR Proportionnas Reporting Ratio (PRR).
Le pire est que les enfants innocents du covid, à risque Zero de cette virose, sont de plus en plus menacés d’une large « vaccination » que les lobbys veulent rendre obligatoire aux USA et en UE obéissante et servile.
Selon R Kennedy, ce serait le moyen de poursuivre la campagne de dépopulation et en se protégeant juridiquement.
Aux USA : « Quand les “vaccins” sont autorisés pour les enfants, les produits pharmaceutiques sont exempts de toute responsabilité et les producteurs ne peuvent être poursuivis en justice, ils sont de fait protégés par le gouvernement fédéral par une loi. C’est ce qu’explique Robert Kennedy à Veronika Krylenko, écrivaine américaine et collaboratrice du média Thenewamerican.com :
« Bien sûr qu’il faut l’abroger (cette loi qui protège les laboratoires). Si vous voulez savoir pourquoi il y a une telle poussée pour vacciner les enfants, il faut comprendre comment la loi fonctionne. En vertu de la Loi CARES et de la loi PREP, l’autorisation d’utilisation des vaccins est protégée par rapport à la responsabilité des entreprises pharmaceutiques. Tant qu’il s’agit d’un vaccin, ils ne peuvent pas être poursuivis, même s’ils sont imprudents et quelle que soit la gravité des complications ou le degré de négligence. Normalement, une fois qu’un vaccin est approuvé, cette protection légale ou “immunité” disparaît et c’est là que nous pouvons les poursuivre, à moins qu’il s’agisse d’un vaccin recommandé pour les enfants, car selon la loi sur les lésions dues aux vaccins pour enfants, tout vaccin recommandé pour les enfants bénéficie automatiquement d’une immunité de responsabilité, même lorsqu’un tel vaccin est administré à un adulte. »
En France, nous assistons à un subterfuge similaire bien que nos lois soient différentes. Il s’agit de faire passer la vaccination Covid dans la liste des 11 vaccins infantiles obligatoires.
La loi sur la vaccination obligatoire a été mise en œuvre par la ministre de la Santé A. Buzyn en 2017.
La justification de santé publique était alors artificiellement construite comme le dénonce un article
des Échos et renvoie également aux conflits d’intérêts entretenus par A Buzyn avec l’industrie pharmaceutique.
Elle a été mise en examen en mars 2020 pour « mise en danger de la vie d’autrui » par la Cour de justice de la République. Au total, sur les 14 500 plaintes liées à la gestion de la crise sur Covid, la Cour de justice de la République en juge seize recevables. Autant dire qu’elle ne risque pas grand-chose… En 2021, elle a même été promue comme directrice générale des affaires multilatérales à l’OMS, organisation en charge de la mise en place d’un passe vaccinal mondial. »
En France, si les pseudo vaccins étaient rendus obligatoires, les labos seraient protégés, car en cas de plaintes de victimes, ce serait l’État (donc nos impôts) qui paierait les indemnités aux plaignants via l’ONDIAM. Donc si Pfizer et Moderna obtiennent une AMM normale, après les AMM conditionnelles, elles veulent être couvertes en cas de plainte.
En UE, pour que les labos soient dispensés de compensations en cas de plaintes, il faut que cela soit stipulé dans les contrats (mention du contrat rendue illisible, car surchargé en noir même pour les députés européens).
Néanmoins si l’État comme la France rend la vax obligatoire, alors elle doit indemniser elle-même les victimes reconnues via nos impôts. Comme au temps pas très lointain, en Chine, ou la famille devait payer la balle utilisée pour tuer leur fils.
L’agence américaine des médicaments (FDA) et les Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC, USA) ont autorisé, mi-juin 2022, la vaccination pour les tout-petits, dès l’âge de six mois avec Moderna et Pfizer. Une aberration scandaleuse.
La FDA autorise en effet la vaccination des enfants de six mois à cinq ans. Elle publie un rapport Pfizer et Moderna que tout le monde peut lire où il est écrit que ces vaccins ne sont pas efficaces et qu’ils sont même toxiques ! Elle conclut en disant qu’elle a un doute sur le rapport bénéfice-risque, mais elle fait une exception pour les enfants, sans expliquer pourquoi, et elle autorise des vaccins qui sont efficaces à moins de 50 %.
Et Pfizer va déposer une demande d’autorisation pour cette tranche d’âge auprès de l’Agence européenne des médicaments (EMA)…
Le maire de New York a annoncé que la vaccination des enfants sera obligatoire à la rentrée. Il faut que les parents s’y opposent avec force et vigueur, la vie de leurs enfants est en jeu. À l’évidence, l’Europe va suivre, comme toujours. C’est une folie criminelle
CAR CETTE INJECTION INUTILE EST DANGEREUSE.
INCIDENTS GRAVES ET DÉCÈS CHEZ LES ENFANTS DE 6 MOIS À 5 ANS — DONNÉES RÉCENTES
USA — Depuis le 01/06/2022, 829 enfants âgés entre 6 mois et 5 ans ont subi des effets indésirables à la suite des injections ARN Lésions cérébrales/cardiaques, hallucinations, chocs anaphylactiques, convulsions, hémorragies… https://medalerts.org/vaersdb/findfield.php
142 autres nouveaux cas de complications liées au vaccin CONTRE LA COVID-19 chez les bébés et les tout-petits âgés de 6 mois à 4 ans ont été ajoutés à la base de données VAERS (Vaccine Adverse Events Reported System) gérée par le gouvernement américain aujourd’hui, portant le nombre total de cas déposés pour ce groupe d’âge à 829 depuis que les vaccins ont été autorisés par la FDA il y a quelques semaines en juin. (La source.)
Les lésions cérébrales et cardiaques, les hallucinations, le choc anaphylactique, les convulsions, les éruptions cutanées, les lésions gastro-intestinales, les hémorragies et d’autres affections graves continuent d’être répertoriés comme effets secondaires de ces injections toxiques injectées aux bébés et aux tout-petits.
« Rien qu’aux États-Unis, 45 cas d’enfants sont décédés après avoir reçu le “vaccin” Covid. Vingt-sept de ces enfants (60 %) étaient auparavant en parfaite santé. Trois des enfants ont participé aux essais cliniques.
Dans le passé, tout vaccin aurait été retiré après 25 à 50 décès de personnes de tous âges !
Les agences de réglementation et les fabricants de “vaccins” ont toujours nié la causalité dans le cas des injections anticovid et pourtant……
Cependant, la proximité temporelle de l’apparition des symptômes avec la date de “vaccination” seule pour la majorité des rapports indique une causalité vraisemblable.
Il est également possible que de nombreux autres décès n’aient pas été signalés s’ils ne sont pas survenus à proximité de la date de “vaccination”. De plus, la majorité des causes de décès sont d’origine cardiaque. La proximité temporelle et la cohérence sont deux des critères clés de Bradford Hill pour établir la causalité.
Les constatations sur les dégâts des injections, particulièrement inacceptables chez les jeunes à risque zero du covid sont décrites dans de nombreux pays du monde. Quelques exemples :
EN THAÏLANDE
Une augmentation de 18 % des anomalies de l’ECG est notée chez les enfants injectés de 13 à 18 ans. Quel sera leur avenir global et sportif ?
Même le NewYork Post dénonce les mensonges des autorités sur ces injections expérimentales dangereuses et inutiles, en particulier chez les enfants Dans les médias mainstream et la presse française complice aux ordres : RIEN, silence complet !
Des médecins du monde entier tentent d’informer les parents avant les drames
« Le vaccin favorise la Covid sévère et multiple« chez les enfants Hélène Banoun[3] explique ici pourquoi les vaccins sont « inefficaces et toxiques » pour les enfants.
Sur le site des statistiques européennes, on voit aussi la surmortalité des jeunes de 0 à 14 ans qui a augmenté à partir de la semaine 21 de 2021 qui est précisément le moment où on a commencé à vacciner les moins de 18 ans.
Même LES BÉBÉS ALLAITÉS sont à risque
ET PENDANT CE TEMPS LA LES AUTORITÉS FRANÇAISES TENTENT D’ÉCOULER ENCORE LES VAX ACHETÉS ET OSENT DIRE :
« Les femmes enceintes et, implicitement, leurs bébés pourraient être injectés sans danger !«
Ce matin en août 2022, c’est clairement ce message que veulent faire passer les médias mainstream français qui l’affirment sur la base d’une étude de CANVAS alors que les femmes enceintes sont invitées depuis trois semaines à réaliser leur 2e dose de rappel contre le Covid. »
Canvas est une institution très provax depuis sa création et au sein de laquelle on trouve CANImmunize, société bénéficiaire des dons de Bill Gates qui développe une application numérique destinée à permettre aux employeurs de savoir quels sont leurs salariés vaccinés ou non vaccinés et de les tracer. Voici la publication originale du Lancet qui confirme la participation de CanImmmunize dans cette étude « très indépendante »…
« Les vaccins contre le Covid-19 serait sans danger pendant la grossesse », prétend cette étude canadienne largement répétée en France. Il ne s’agit pas d’une étude randomisée, mais d’une simple comparaison de cohortes de femmes définies arbitrairement par les auteurs qui peuvent ainsi facilement biaiser la comparaison. Ces femmes n’ont fait l’objet d’aucun examen médical ni biologique, mais ont été seulement interrogées par téléphone ! Et la comparaison des deux groupes a été effectuée au 7e jour de l’injection alors qu’on ne peut juger du bon déroulement d’une grossesse qu’après l’accouchement ! Le niveau de preuve de ce torchon est donc proche de zéro ! Sa publication scandaleuse par le Lancet s’explique uniquement par le contrôle de cette revue jadis prestigieuse par RELX de Blackrock, actionnaire numéro 2 de Pfizer, précédemment illustré par l’affaire du Lancet Gate.[4][5]
EN UE comme aux USA les complications explosent :
Au Canada
Pendant que Bill Gates reçu par Macron et passant au JT de France 2 raconte que seuls les non-vaccinés meurent sans que le journaliste ne l’arrête le Canada publie ses données du 21 mars au 10 avril 2022 : 17,12 hospitalisations pour 100 000 triple vax (en rouge) contre 9,41 pour 100 000 non-vaccinés (en vert) suivis de 2,13 décès pour100000 triple vax contre 1,6 pour 100 000 non-vaccinés. Comment gouvernements, institutions, médecins, médias peuvent-ils mentir à ce point ?
Et luttons contre la diabolisation des résistants !
Loin d’être marginale, l’opinion selon laquelle les enfants n’ont pas besoin du vaccin anti-covid19 représenterait une minorité significative (pour les cohortes plus âgées) ou une majorité écrasante (pour les plus jeunes) de parents aux États-Unis, au Royaume-Uni et ailleurs.
Les 95 % de parents américains qui ont refusé de faire vacciner leurs enfants de 0 à 5 ans contre le Covid-19 sont-ils « antivax » ? Qu’en est-il des 89 % de parents britanniques qui, à la fin du mois de juillet, avaient refusé de faire vacciner leurs enfants de 5 à 11 ans ?
Bien sûr qu’ils ne le sont pas. Ils reconnaissent simplement que l’extrême discrimination par âge du Covid rend la vaccination inutile pour la grande majorité des enfants par ailleurs en bonne santé, tout comme l’immunité acquise par l’infection. (Source — La diabolisation de la dissidence) »
UN FACTEUR D’ESPOIR EN UE : le Danemark interdit la vax des moins de 18 ans. Qu’il serve de modèle !
LE GOUVERNEMENT MET FIN AUX VACCINATIONS COVID POUR LES ENFANTS DE MOINS DE 18 ANS !!
LE DANEMARK A INTERDIT LES VACCINATIONS COVID POUR LES ENFANTS DE MOINS DE 18 ANS EN RAISON DE L’ABSENCE DE RISQUES GRAVES POUR LA SANTÉ DES JEUNES POSÉS PAR LE « VIRUS ».
L’ANNONCE DE L’AUTORITÉ SANITAIRE DANOISE EST À LA FOIS UNE DÉCLARATION DE LA RÉALITÉ SELON LAQUELLE LES ENFANTS EN BONNE SANTÉ NE COURENT PRATIQUEMENT AUCUN RISQUE AVEC LE COVID-19 ET UN VOTE DE NON-CONFIANCE DANS LE PROFIL RISQUES-AVANTAGES À LONG TERME DES VACCINS À ARNM.
IL NE SERA PLUS POSSIBLE POUR LES JEUNES ET LES ENFANTS DE MOINS DE 18 ANS DE RECEVOIR LE PREMIER VACCIN ET, À PARTIR DU 1ER SEPTEMBRE 2022, IL NE SERA PLUS POSSIBLE DE RECEVOIR LE DEUXIÈME VACCIN.
LES RAPPELS NE SONT PAS RECOMMANDÉS PAR L’AUTORITÉ SANITAIRE DANOISE POUR LES PERSONNES DE MOINS DE 50 ANS.
L’AUTORITÉ SANITAIRE ÉVALUERA ULTÉRIEUREMENT SI TOUTES LES FEMMES ENCEINTES OU SEULEMENT CERTAINES D’ENTRE ELLES DOIVENT SE VOIR PROPOSER LE VACCIN.
AGISSONS POUR INTERDIRE CE POISON PARFOIS MORTEL ET SOUVENT TOXIQUE.
[1] CDC conscient du nombre de rapports d’événements indésirables déposés dans le VAERS sur ces injections de COVID-19, et la façon dont cela contraste fortement avec le nombre de rapports historiques le plan de dotation en personnel et d’opérations a été revu : axé uniquement sur les rapports d’événements indésirables liés aux vaccins après vaccins COVID-19 pour aider à traiter environ 770 000 rapports numériques par an. Le CDC sait : ils recrutent de nouveaux employés pour faire face au grand nombre de personnes qui, selon eux, soumettront des rapports d’événements indésirables dans le cadre des injections de COVID-19, et ils compensent à cet égard, mais sans reconnaissance publique. https://jessicar.substack.com/p/a-question-and-answer-document-on[⮬]
[2] voir notre livre chez fauves editions par g et n delepine janvier 2022[⮬]
[3] Pharmacien biologiste, ancien chercheur INSERM, membre du Conseil scientifique indépendant.[⮬]
Depuis deux ans et huit mois, le gouvernement et les médias aux ordres nous mentent pour nous inciter à accepter des injections expérimentales abusivement qualifiées de vaccin alors qu’il s’agit de médicaments à ARN dont les essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023.
L’un des derniers mensonges en vogue concerne les femmes enceintes qu’on trompe en prétendant[1]:
« Une vaste étude canadienne… confirme que les vaccins à ARN messager contre le Covid-19 sont “sans danger” pendant la grossesse… L’étude a été menée sur 200 000 femmes enceintes canadiennes vaccinées ».
Ce pur mensonge estampillé AFP a été répété partout avec la complicité de France info, Médisite[2], La dépêche[3], Elle[4], 20 minutes Santé[5] le quotidien du pharmacien[6] et bien d’autres médias.
Existe-t-il dans ces rédactions des journalistes qui vérifient leurs sources et les données ? Sont-ils paresseux ou volontairement menteurs ? S’ils avaient fait leur travail de journaliste, ils auraient remarqué les faits suivants déjà dénoncés brillamment par Gibertie[7].
L’étude[8] ne porte que sur 5 625 femmes enceintes vaccinées !
Car la lecture de l’article qu’ils citent montre que l’effectif réel des vaccinées est près de 40 fois inférieur à ce qu’ils annoncent !
L’étude se limite à de simples contacts par e-mails et/ou téléphoniques !
Il ne s’agit en aucun cas d’un article médical. Aucun examen clinique ni biologique n’a été réalisé. Il est heureusement douteux que les gynécologues canadiens suivent leurs patientes et l’évolution de leur grossesse par ces seuls moyens !
L’étude ne porte que sur les 7 jours post injection !
C’est quand même très court pour affirmer que les grossesses qui durent 9 mois n’ont pas été altérées par les injections et que les futurs nouveau-nés n’en ont pas souffert.
En 7 jours de suivi, ils ont quand même réussi à avoir chez les vaccinées : 4 qui ont perdu la vue, 7 incapables de marcher, 91 infections respiratoires, 1 paralysie soudaine du visage, et de nombreuses fausses couches.
Il ne s’agit pas d’un essai prospectif randomisé.
Mais d’une analyse rétrospective de cohorte dont la fiabilité scientifique est faible et la valeur probante très faible d’autant que l’effectif du groupe témoin (non vacciné) n’est que 339, chiffre totalement insuffisant pour estimer les risques et les comparer à des groupes numériquement 10 fois plus importants.
Les auteurs sont très liés à l’industrie des vaccins.
Il suffit de consulter les liens d’intérêt détaillés à la fin de l’article :
MS a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, Symvivo et VBI Vaccines.
OGV a été chercheur, co-chercheur ou panéliste expert sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer et Seqirus, en dehors du travail soumis.
JDK a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna et Pfizer
KAT a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline.
JEI a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline et Sanofi-Pasteur.
AJM a été chercheuse sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer, Sanofi-Pasteur et Seqirus, , et a reçu des honoraires pour sa participation à des conseils consultatifs d’Astra-Zeneca, GlaxoSmithKline, Medicago, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, et pour les présentations d’Astra-Zeneca et Moderna.
GDS a été enquêteur sur un projet financé par Pfizer.
L’étude a été financée par les organismes d’État qui vivent des campagnes vaccinales et en font la promotion constante.
Ce travail a été soutenu par le financement COVID-19 Vaccine Readiness des Instituts en santé du Canada et de l’Agence de la santé publique du Canada CANVAS (numéro de subvention CVV-450980) et par le financement de l’Agence de la santé publique du Canada, par le biais du Document de référence sur la surveillance des vaccins Group et le groupe de travail sur l’immunité COVID-19.
La publication par le Lancet d’un tel torchon rappelle le précédent Lancetgate[9][10][11][12]
Jamais un tel article bidon n’aurait passé l’examen par un comité de lecture à l’époque où le Lancet était indépendant et que son impartialité faisait sa réputation. Le Docteur Richard Horton rédacteur en chef du Lancet a d’ailleurs prévenu ses lecteurs :
« Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée d’études avec des échantillons réduits, flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres.les grandes compagnies pharmaceutiques falsifient ou truquent les tests sur la santé, la sécurité et l’efficacité de leurs divers médicaments, en prenant des échantillons trop petits pour être statistiquement significatifs, ou bien, pour les essais, embauchent des laboratoires ou des scientifiques ayant des conflits d’intérêts flagrants, ils doivent plaire à la compagnie pharmaceutique pour obtenir d’autres subventions ».
L’agence France presse, et les médias qui ont diffusé sans modération ce mensonge se sont comportés non pas comme des organes d’information, mais comme des propagandistes sans état d’âme d’un pseudovaccin expérimental dont les premiers résultats avérés en population réelle sont très inquiétants.
https://association.ametist.org/wp-content/uploads/2022/08/foetus.jpg335605Nicole Delépinehttp://association.ametist.org/wp-content/uploads/2016/07/Logo-Ametist-web5.jpgNicole Delépine2022-08-17 17:08:042022-08-17 17:08:04LE MENSONGE CRIMINEL DE LA PSEUDOVAX ANTICOVID SANS DANGER POUR LES FEMMES ENCEINTES
Interview des Docteurs Nicole et Gérard Delépine par Déborah Monnier à l’occasion de la sortie de leur nouveau livre.
Le traitement du cancer fait de plus en plus l’objet de nouvelles molécules très médiatisées, occultant souvent le rôle majeur de la chirurgie, de la radiothérapie ou des anciennes molécules déclarées obsolètes. Une vraie révolution a eu lieu, oui, mais au seul bénéfice de la finance, très exceptionnellement des malades.
La simplification majeure des conditions d’autorisation de mise sur le marché (AMM) des médicaments a réduit les délais d’obtention et permis aux entreprises de bénéficier plus longtemps de l’exclusivité des brevets, au prix d’une diminution considérable du niveau d’exigence des agences du médicament et de la sécurité sanitaire des malades. Une fois l’AMM dite « accélérée » imposée à l’ensemble de l’Union européenne, la France n’a que le choix du prix, du remboursement et de son inscription éventuelle sur la liste « en sus » autorisant les hôpitaux soumis à la tarification d’utiliser ces médicaments cent fois plus cher que l’or.
Avastin, Erbitux, Sutent, Iressa, Tarceva, Votrient, Yondelis… Qu’en est-il de l’efficacité et de la tolérance réelles de ces drogues arrivées en « pony express » sur le marché ?
A travers ce nouvel ouvrage aux éditions Michalon, Nicole et Gérard Delépine dressent un inventaire non exhaustif mais représentatif de ces nouveaux médicaments (conditions de mise sur le marché, complications, efficacité supposée) afin que tout patient puisse disposer d’informations objectives avant de donner son consentement.
Nous avons souhaité interviewer le Dr Gérard Delepine pour en savoir plus.
https://association.ametist.org/wp-content/uploads/2016/11/logo-prevention-sante-Ametist2.jpg500500Murielhttp://association.ametist.org/wp-content/uploads/2016/07/Logo-Ametist-web5.jpgMuriel2017-10-13 11:31:562017-10-13 11:31:56Médicaments anti-cancer peu efficaces, souvent toxiques et hors de prix